L’E2C offre aux jeunes qui sortent chaque année de l’école sans diplôme, une autre école et une deuxième chance d’intégration …. Un projet passionnant, politique, social, éducatif …

Le compte à rebours a commencé début juin pour C3M… 5 mois pour gérer la Communication d’un Colloque accueillant 700 invités autour de trois Ministres, de Grands Patrons, de dizaines d’écoles….

Au moment de la consultation, la différence s’est faite sur notre connaissance du secteur Formation / Education et des milieux institutionnels, et sur notre capacité d’organisation événementielle. La conduite de projet est ainsi centralisée ; elle couvre Relations presse, Vidéo, et supports de communication…

Au final, 35 journalistes à la conférence de presse ; des passages radios – RTL, France Culture, France Bleu, Ado FM, Europe 1, RFI … Des articles dédiés dans les newsmagazines et les quotidiens et les agences de presse : le Nouvel Observateur, le Parisien, Le Point, France Soir, Liaisons Sociales, La Gazette des Communes, 20 Minutes, Les Échos, Le Monde, Maxi, AFP, AEF…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Savez-vous ce qu’est le « darketing » ?

La réponse sur Darkplanneur , l’un des blogs les plus visités sur le thème de la communication à l’ère numérique. Actualisé quasiment en temps réel par son créateur, Eric Briones, directeur du médiaplanning chez Publicis, mais surtout connu dans la blogosphère sous le pseudo de Darkplanneur. Ce dernier vient également de publier avec son coauteur Karim Stambouli un ouvrage de référence sur un sujet en vogue : « Buzz marketing, les stratégies du bouche à oreille » aux Editions d’Organisation.

Mais beaucoup plus qu’encore un blog sur la communication, Darkplanneur en ligne depuis 2005, c’est surtout un cahier de tendances avec des coups de gueule et des coups de chapeaux aussi éclectiques qu’électriques en matière de luxe, de marketing, de digital, de médias, d’art et même …de sexe !

 

 

 

 

 

 

 

 

Quand un surdoué du cinéma, raconte la saga d’un petit génie d’Internet.

Définitivement, cet automne ne sera pas monotone avec la très attendue sortie du film de David Fincher (le metteur en scène à succès de Seven) retraçant la success-story Facebook.

Le film vient d’être présenté au public lors du New York Film Festival le 24 septembre et sortira le 13 octobre en France. Slogan du film, “« You can’t make 500 million friends without making a few enemies »” en VF “« Vous ne pouvez pas vous faire 500 millions d’amis sans vous faire quelques ennemis »” oblige ; d’ores et déjà, c’est l’un des thèmes vedette qui occupent et préoccupent la toile mondiale. D’autant que le buzz est au rendez-vous, voire au rendez-vues : 24 800 exactement. C’est le nombre de photos de profils d’utilisateurs Facebook utilisés pour reconstituer l’affiche du film.

Autre innovation marquante qui se remarque et se démarque : une bande-annonce interactive. Un fonctionnement qui est à la fois intuitif et sophistiqué. Pendant que l’on fait défiler le clip conçu pour la diffusion en salles, des dizaines de liens apparaissent sous la souris dans chaque plan, renvoyant à des données chiffrées sur Facebook, à une biographie de son fondateur, Mark Zuckerberg, à une séquence commentée extraite du making-of ou même à des articles de presse sur les abus du plus célèbre des réseaux sociaux !

Bref, un dossier de presse totalement multimédia, plus qu’innovant !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un véritable tsunami numérique ! Ainsi sur Facebook, les groupes et les pages de boycott contre BP foisonnent,dont la page Boycott BP, avec plus de 840 000 membres.

Sur Twitter, c’est le raz de marée. Le 19 mai, un faux compte Twitter usurpant le compte du service de relations publiques de BP a été créé, pour diffuser des messages dévastateurs. Très vite, le nombre de followers de ce compte (aujourd’hui plus de 187 000) a dépassé celui du compte Twitter officiel de BP.

Sur YouTube, parmi les vidéos les plus regardées, on trouve un sketch parodique vu par 9,9 millions d’internautes, montrant l’incapacité des employés de BP à nettoyer une tache de café renversée sur un bureau.

Enfin, la « Rebrand BP contest », une compétition invitant les internautes à proposer leurs logos détournés de BP, via un compte FlickR dédiés a visiblement inspiré les internautes.

Non seulement la valeur boursière a plongé mais aussi et c’est une première, le cyber-lynchage a largement contribué à la démission de Tony Hayward, le PDG de BP.

Désormais, après l’exemple de Nestlé, celui de Domino Pizza ou encore celui de Dell, il est maintenant établi que sur le web, un bad buzz nuit au good bizz.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Deux programmes de voyages de presse ont été montés pour communiquer sur les sports d’été. Sports extrêmes dans les canyons ou soins détente dans les thermes, randonnée et nuits en refuge, ou repas gastronomiques et hôtel de charme : il y en a pour tous les goûts… Et au final, ce sont une quinzaine de journalistes qui ont été séduits, souvent pour une première découverte des Hautes-Pyrénées version Saint-lary : CNBC, LCI, Metro, L’officiel Voyage, La Vie est Belle, le Télégramme de Brest, Le Parisien, iTrekkings, e-voyageur, le Temps du Voyage…

 

 

Les bébés nageurs nous avaient déjà fait craquer il y a 11 ans. Cette fois, voilà les bébés adeptes de hip-hop, en rollers sur le macadam de Central Park. Ils se la jouent façon rap du Bronx sur un remix de « Rappers Delight ». Quelques pas de « moonwalk », puis ils roulent des mécaniques en dansant ou en virevoltant entre les bouteilles d’Evian. Tout ça en couches-culottes, évidemment. Un tournage digne d’Hollywood !

Bien entendu, des bébés danseurs n’arrivent pas de nulle part. C’est le résultat d’un plan d’e communication malin conçu et réalisé par l’agence BETC Euro RSCG 4D.

Teasing oblige, la campagne s’est déroulée en deux temps. Première phase, des blogueurs sélectionnés pour leur influence ont d’abord pu mettre en ligne deux courtes vidéos, celle du « baby moonwalk » et celle du « baby break dance ». Puis, deuxième phase, ils ont diffusé le clip final. Un principe totalement win win : ces tops internautes peuvent s’exprimer librement sur la campagne, ce qui offre de la visibilité numérique à la marque. En contrepartie, ils obtiennent un contenu exclusif qui va doper leur audience. Ne restait plus qu’à attendre que le net s’approprie la vidéo. Rapidement, le virus du clip viral opère. Il est partout : You tube, Twitter, Facebook où en plus du groupe officiel créé par les concepteurs, six groupes de fans de la publicité sont mis en ligne, mais aussi forums des mamans et de jeunes femmes et même de passionnés d’imagerie.

Résultat : une campagne de marketing viral qui avec un score record de100 millions de vues est devenue la vidéo publicitaire la plus regardée de l’histoire du net.