Mais comment fait-il ? Vous voudriez savoir comment se déroule la journée d’un community manager ? Vous vous demandez ce qu’il peut bien faire toute la journée sur les réseaux sociaux ? Lisez cet article qui vous révèle au passage quelques unes de nos astuces pour mieux remplir nos missions de community manager au service de nos clients …

Le rôle du community manager

Un community manager est rattaché au service de communication de l’entreprise ou de l’institution. Il est responsable, comme son nom l’indique, de la communauté de l’entreprise ou de l’institution, c’est-à-dire des gens à qui elle rend service ou à qui elle commercialise des produits et prestations. Il est donc le garant de l’image et de la notoriété de cette entreprise.

Il doit veiller à ce que l’entité qu’il représente soit bien vue sur Internet et les réseaux sociaux. Il doit aussi véhiculer une impression de dynamisme. Il communique auprès des clients et utilisateurs actuels mais aussi futurs. Il peut avoir un rôle à jouer dans la communication interne de l’entreprise. Il est en général expert des réseaux sociaux et du web et travaille avec 2 ou 3 écrans sous les yeux, de différents formats (tablette, ordinateur, smartphone).

Une journée en 3 actes

Acte 1 : la veille

En général, une bonne partie de la matinée est consacrée à la veille de l’actualité, du secteur, de l’image de la marque et des concurrents. Le community manager utilise des agrégateurs de flux RSS pour se tenir au courant de tout ce qui se passe sur le web. Il sélectionne des mots clés et des sites de référence, rassemble et trie l’actualité. Il peut voir ainsi dès le matin toutes les actus…

Acte 2 : la communication inter-personnelle

Il traite les sollicitations parvenues par mail ou téléphone, les différents messages et commentaires reçus sur les réseaux sociaux. Il faut montrer que l’entreprise est disponible pour tous ses publics, même pris individuellement. En fonction des volumétries, des messages types à personnaliser font gagner du temps….

Acte 3 : la création de contenus

La création de contenu est à destination de la communauté dans son ensemble. Là, le message n’est pas personnalisé, où s’il l’est, c’est en fonction d’une catégorie cible de personnes. Le community manager crée du contenu au format textuel, vidéo, photo, etc. pour les différents réseaux sociaux. Et le poste immédiatement, ou le programme. Il crée seul ou en collaboration avec des graphistes, rédacteurs web, designers, photographes, etc. en fonction de ses ressources et de l’ambition donnée à certaines campagnes.

Travailler avec un inflenceur est aujourd’hui une pratique très courante dans le processus de promotion d’une marque ou d’un produit. Bon nombre d’entreprises oublient toutefois que le métier d’influenceur est une occupation à temps plein : ces derniers doivent être présents aux grands événements, négocier leurs contrats, créer des contenus pour leurs communautés, tout en étant ambassadeurs de marque. Les influenceurs sont donc, bien souvent, débordés. Il est alors essentiel de comprendre comment retenir leur attention, et comment les motiver à travailler avec vous. Voici donc un condensé des bonnes et mauvaises pratiques à bannir ou à adopter afin d’attirer les influenceurs.

Les bonnes pratiques

Dans votre recherche d’inflenceurs attachés à votre entreprise, n’oubliez pas de penser aux micro-influenceurs. Ces derniers sont habituellement suivis par moins de 500 000 followers, pratiquent des coûts plus bas, et ont surtout l’avantage d’être bien plus proches de leur communauté.
Quelle que soit la taille de ladite communauté, n’oubliez pas que tout travail mérite salaire ! Pensez donc impérativement à proposer une compensation, financière ou matérielle, à l’influenceur visé. Vous pouvez également soutenir l’influenceur en question sur les réseaux sociaux, en relayant ses contenus. Cette pratique aura l’avantage de vous attirer la sympathie de votre ambassadeur, ainsi que la confiance de sa communauté.

Vous devez, plus que tout, personnaliser votre approche. Lors de votre premier contact avec l’influenceur, expliquez-lui clairement les raisons pour lesquelles vous l’avez choisi lui, et aucun autre. Expliquez-lui votre point de vue, en quoi son style propre peut être bénéfique à votre marque, et surtout, en quoi consistera le partenariat exactement. N’oubliez pas la communauté de l’influenceur pour autant : il vous faudra préciser en quoi votre produit, marque ou service pourrait plaire à ses followers. Montrez à l’influenceur que vous avez étudié son travail et sa communauté, afin de lui prouver la plus-value que votre entreprise pourrait apporter à son travail et à sa notoriété.

À éviter

Pas de harcèlement… Personne n’aime les coups de fil à répétition, ou des e-mails de relance trop insistants. N’oubliez pas que les influenceurs sont les gérants de leur auto-entreprise, et n’hésiteront donc pas à vous contacter d’eux-mêmes si votre offre les intéresse. Dans la même lignée, évitez de contacter des influenceurs à la chaîne. Il s’agit d’un milieu très fermé, ou tout fini par se savoir tôt ou tard. Préférez les actions ciblées, et ne contactez que les influenceurs dont l’univers correspond à celui de votre marque. Et bien entendu, une fois le premier contact établi, ne prenez pas vos désirs par des ordres. Si vous conviez l’influenceur à un de vos événements, n’exercez sur lui aucune pression de rendement. Si l’événement lui plaît, il en parlera de lui-même sur ses réseaux, c’est garanti !

Devenu incontournable aujourd’hui, le mot « contenu » est généralement employé avec les termes « stratégie », « production », « format ». C’est un outil éditorial, orienté bénéfice utilisateur et génération de valeur ajoutée. Il nourrit le tunnel de conversion, répondant à une recherche de notoriété, ou poussant à l’achat. En d’autres termes, le contenu est jugé pour son retour sur investissement (R.O.I).

 

Deux qualificatifs importants

Pour attirer l’attention de ses publics cibles, il faut nécessairement se mettre dans leur peau, et s’imaginer leurs préoccupations et leurs attentes. L’idée de l’impact attendu représente une partie importante de l’équation. Ce qui signifie deux choses :

Il doit être proposé au bon moment et à la bonne personne.

Il doit être transférable, exploitable en multicanal, et s’adapter aux contraintes du support de diffusion.

 

Un bon contenu = le problème à résoudre + la cible + le contexte de diffusion.

 

 

 

 

 

Le consommateur montre une défiance à l’égard des marques et de leur communication. Il ne se contente plus d’une bonne publicité pour l’inciter à acheter, il s’attache aux recommandations des utilisateurs et, donc maintenant à celles des influenceurs. Est-ce que vous ne pourriez pas faire, comme tant d’autres marques, de la communication d’influence ?

Quel est l’impact des influenceurs ?

On distingue trois niveaux d’influenceurs. Le nano influenceur possède moins de 1 000 abonnés, les micro influenceurs entre 1 000 et 100 000 abonnés et le macro influenceur, plus de 100 000.

Pour créer une communauté de marque, vous devez commencer par définir très précisément votre objectif, ainsi que le budget que vous allez y consacrer.

La quantité n’est pas forcément synonyme de qualité. Les plus petits influenceurs (souvent non rémunérés) ont une capacité d’influence inversement proportionnelle au nombre de leurs abonnés, car ils sont perçus comme plus proches de la réalité et plus légitimes pour parler d’un produit qu’ils ont réellement testé.

Ce peut être une bonne stratégie que de contacter des micro influenceurs qui ont des centres d’intéret et une communauté en phase avec vos valeurs et vos produits. La démarche consistera à les inciter à partager une expérience de consommation, par exemple, au travers d’articles, de vidéos, etc. Ils deviennent pour un moment ou sur un partenariat de plus long terme, des ambassadeurs de votre marque.

Au-delà de ces leaders d’opinion avec qui vous allez travailler, c’est toute votre communauté que vous pouvez  motiver au travers d’opérations spéciales, de production de contenus. Ce sera le travail du community manager.

Dans tous les cas, toute action doit être suivie et analysée.

 

Conventions annulées. Séminaires annulés. Conférences annulées. Salons annulés. Depuis 10 jours, on en était là, mais depuis ce week-end, nous avons, nous aussi, pris véritablement conscience du moment inévitable que l’on traverse. Notre énergie vitale, notre foi dans le système de santé, l’incongruité de l’événement, nous rendaient un peu trop hermétiques aux messages. On refuse les mauvaises nouvelles, on s’en protège, c’est aussi pour cela que les climatosceptiques ont eu la vie dure, que nous sommes si peu volontaristes à changer nos modes de vie face à la catastrophe environnementale. Résister plutôt que changer.

Bref, on était encore inconscient des risques que l’on court et que l’on fait courir aux autres, aux soignants il y a 3 jours. On a tous compris depuis samedi soir. Nous sommes acteurs de la sécurité de tous. Chacun doit jouer son rôle.

 

Le travail reste à faire. Heureusement. Car cela permet de nous aérer l’esprit et de continuer à construire, prévoir, engranger des réalisations. On coupe la radio, on se concentre…

 

Nous avons depuis longtemps, à l’Agence C3M, utilisé dans notre quotidien les réunions à distance et virtualisé nos modes de travail en interne et avec nos clients. Alors, cela ne change pas grand-chose entre nous, si ce n’est qu’on ne se verra pas en vrai avant quelques semaines, autour d’une réunion ou d’un déjeuner, qu’on ne vous proposera pas de rencontrer des journalistes de visu, qu’on ne fera pas l’accueil presse sur vos salons et qu’on décale nos plans d’actions. Comme il y a un mois, comme la semaine dernière, les journalistes font leur métier, ont besoin d’informations, ont des idées de dossiers, des chroniques à faire, des pages à remplir.

Alors rien ne change et on télétravaille tous ensemble.

A très vite …

Prenez soin de vous et des vôtres

LinkedIn est le réseau social des professionnels et des entreprises ; s’y côtoient les comptes Entreprises et les comptes personnels des dirigeants, des collaborateurs, des indépendants. Une vraie vitrine de la mobilité professionnelle et des expertises…

Pour tracer son chemin, quelques conseils…

Linkedin, la sincérité n’empêche pas les effets de style

Sur LinkedIn, on ne s’exhibe pas. Mais cela n’empêche pas de valoriser ses contributions. Avec images et vidéos au besoin. Ce n’est pas parce qu’on est sur un réseau professionnel, qu’on doit s’obliger à être si neutre qu’on ne présente plus aucun relief. Bien au contraire. Si vous avez des contenus riches, ils méritent d’être scénarisés. Certains influenceurs occupent pleinement l’espace qui leur est offert par le réseau, avec des posts qui suscitent l’intérêt, le sourire, la curiosité.

De plus, si vous regardez bien, ils sont de leur côté, actifs et manifestent leur intérêt pour les autres, interagissant, réagissant aux publications non seulement par des Like et des partages, mais aussi par des commentaires. C’est à prendre en modèle : lorsque vous débusquez un contenu qui sort de l’ordinaire et se distingue à vos yeux, c’est vraiment l’occasion de faire une demande de connexion à son auteur. Certainement plus efficace et utile, que de tenter d’entrer en relation avec un inmail sponsorisé ou une demande de mise en relation motivée par un intérêt mercantile trop voyant…