Instagram est devenu l’un des réseaux sociaux les plus populaires, c’est un monde où l’on aime la beauté, le plaisir, le design, et ça fait du bien ! Bonne nouvelle, ce n’est pas le lieu exclusif des blogueuses mode et des pâtissiers ! Cela vaut vraiment le coup de regarder si vos réseaux d’influence s’y connectent, que vous soyez en B2C ou  en B2B. Si oui, n’hésitez plus, vos premiers pas seront très simples, et c’est bien là une autre qualité qui explique le succès de ce réseau !  On vous donne les clés de la mise en oeuvre …

Solliciter les utilisateurs pour les rallier à votre compte

Créer une page, en quelques minutes, c’est possible. On affiche les coordonnées de l’entreprise, les horaires d’ouverture, adresse, numéro de téléphone… On écrit une biographie, et on renvoie vers un blog, page Facebook, boutique, etc.

Ensuite, il faudra penser à envoyer des invitations à toutes les personnes qui commentent et aiment vos premières publications afin qu’elles puissent être notifiées quand vous publiez.

 

Publier des contenus présentant l’entreprise et ses services

Les modes d’expression sont très variées, c’est l’un des charmes de ce réseau ! On trouve ainsi :

– Des tutos (sous forme de vidéos ou d’albums photo), pour expliquer comment se servir de vos produits / services

– Des argumentaires ultra court et percutants

– Des citations « inspirantes » à emprunter à des personnes célèbres ou expertes

– Des hashstags encore et encore, le réflexe incontournable, à accumuler et saisir à la queue leu-leu pour permettre aux utilisateurs de repérer vos contenus quand ils font des recherches

– Et bien sûr, des photos, posées, filtrées, designées, esthétisantes, qui font la marque de fabrique d’Instagram. C’est le moment de changer votre téléphone portable contre un nouveau modèle qui fera de très belles photos, et de vous abonner à quelques appli accessibles sur mobile pour enluminer vos images à chaud pour publication rapide (Canva, Pixaloop, etc). Les dimensions pour vos photos Instagram : Photo carrée : 1080 x 1080 pixels (1:1), Photo paysage : 1080 x 566 pixels (1,91:1), Photo portrait : 1080 x 1350 pixels (4:5)

– Enfin, pour enrichir votre page, pensez aux stories, des vidéos /photos / textes visibles directement sur l’écran d’accueil de l’application Instagram.

 

Viser une stratégie sur long terme

Diffuser à vos abonnés des vidéos et des photos régulièrement. Là encore, cela veut dire tous les jours… Et faire beau, cela prend du temps…

Booster les ventes sur Instagram

Il s’agira alors de publier des contenus présentant des offres promotionnelles, voire exceptionnelles, à vos abonnés, et de renvoyer vers un site e-commerce. Proposer une livraison gratuite, un cadeau, une offre d’essai…

 

 

 

Les entreprises voient avec les réseaux sociaux, la possibilité de simplifier en termes d’accessibilité et de coût, la promotions des marques, produits et services. Les collaborateurs vont même pouvoir interagir, et être de véritables ambassadeurs de marque.

Si l’idée est plaisante « sur le papier », en pratique, cela se complique : les cliqueurs et les likeurs ne sont pas légion. Même en interne, l’engagement est quelque fois décevant. Une Direction de la Communication serait mal inspirée de penser que les réseaux sociaux sont quasi intuitifs et que « cela va prendre » naturellement… Sans explications, les bonnes pratiques ne vont pas se diffuser et la dynamique risque même de s’essouffler. Qui ne demande rien, n’a rien : faute de solliciter des réactions, pourquoi les collègues récompenseraient-ils de like réguliers, les posts de leur entreprise ? Et faute de les solliciter, comment voulez vous qu’ils vous donnent des idées de posts et articles sur l’actualité et l’expertise de l’entreprise ?

Collaborateurs et collègues : des influenceurs en puissance

Car l’enjeu est là : la plupart des collaborateurs sont présents sur les réseaux sociaux, et chacun d’eux y possède une communauté de followers, ce qui représente un potentiel démultiplicateur pour les messages de l’entreprise. On les voit trop souvent comme un club de « happy fews », mais en réalité, nous sommes tous des influenceurs, capables de rassembler des communautés générant de l’engagement. Vous, moi, vos collègues. Tous les collaborateurs de l’entreprise peuvent rejoindre votre armée de micro-influenceurs.

Pensez-y : les collaborateurs constituent ainsi vos premiers relais sur les réseaux sociaux pour démultiplier l’impact de votre communication digitale. On dit que si une entreprise de 100 salariés a 4 000 followers, en associant des collaborateurs, ce nombre de followers passera à 120 000. La Direction de la Communication aura plus qu’intéret à mobiliser et transformer ses collègues : tel est l’objectif de l’« employee advocacy ».

Personal Branding, l’argument pour créer de l’engagement

Si l’entreprise travaille les réseaux sociaux pour en faire une vitrine, les collaborateurs, eux, peuvent y gagner un outil de personal branding. Ils ont la capacité de prouver leur présence et leur expertise en se rendant visibles sur les réseaux.

Le personal branding devient ainsi l’un de vos arguments pour les faire réagir à la communication digitale de l’entreprise. L’autre argument étant bien entendu la qualité et l’intérêt du contenu que vous allez publier !

Évidemment, cela ne se décrète pas.

C’est un processus de transformation qui passe par une étape de formation aux réseaux sociaux. A vous de donner les clés, de faire tomber les barrières, de conseiller sur les bonnes pratiques, ainsi que les pièges à éviter. Il faudra rédiger et diffuser une charte interne d’usage des réseaux sociaux. Et identifier, comme dans tout processus d’innovation, les plus avancés, les plus motivés pour tenter des nouveaux projets avec eux.

Mais cela vaut le coup : l’impact de votre communication sera décuplé dans un cadre B2B, grâce à l’écoute et la crédibilité attribuées aux collaborateurs.

Pour en savoir plus : http://bit.ly/2L9uAar

 

Vous souhaitez bien évidemment obtenir plus de prospects qualifiés via votre site Web. Au delà des tours de magie digitale, c’est aujourd’hui un travail méthodique sur le contenu pour améliorer vos performances, qui sera récompensé… Si votre site Web fait référence aux yeux de Google, c’est gagné, il remontera dans les pages de réponses : c’est devenu l’axiome de base. Nous vous donnons ici quelques règles de travail, qui vous permettent d’asseoir votre autorité aux yeux de Google, si vous vous sentez l’âme d’un rédacteur…

Obtenir des liens qui pointent vers votre site

Dans les trucs techniques, la mise en place de backlinks (liens retours vers votre site depuis d’autres sites internet) compte beaucoup dans cette stratégie de référencement. On vous livre 3 idées d’actions :

1 – Vous pouvez sponsoriser des articles, une pratique certes payante mais qui peut se révéler très judicieuse, nous montons des programmes d’articles sponsorisés en adéquation avec vos budgets qui permettent de vous associer à des partenaires éditoriaux rapidement.

2 – A côté de cela, nous menons aussi à l’Agence, des actions au long cours de relations presse, avec des placements d’avis d’experts et de communiqués de presse.

3 – Et enfin, nous pouvons aussi chercher des articles qui traitent de votre thématique, incluent des liens hypertextes vers d’autres sites pour vous y proposer.

Publier du contenu

Vous l’avez compris, nous sommes au coeur de notre métier, ici ! L’algorithme de Google valorise la qualité du contenu de votre site pour décider de vous positionner ou non dans les premiers résultats. Pour séduire l’algorithme, vous devez veiller à :

• écrire sans aucune faute. Orthographe, syntaxe, grammaire, on révisera !
• créer du contenu original sans recourir au copié-collé ;
• scotcher le visiteur sur votre site, l’inciter à naviguer longtemps dessus en créant du contenu réellement intéressant ;
• soigner l’iconographie, elle rend l’expérience de lecture plus agréable.

 

1 – La longueur des textes sur chaque page est importante. Plus c’est long, plus c’est bon ! Mais il ne faut pas se répéter : votre texte doit être riche sur le plan de la syntaxe. Munissez-vous d’un dictionnaire en ligne de synonymes et antonymes si vous vous répétez trop souvent. Et veillez à ce que votre texte garde du sens et soit fluide. Lisez, relisez, allégez, développez, corrigez…

2 – Chaque page doit contenir au minimum 500 mots, mais viser les 1 000 mots, voire plus, sera bénéfique pour votre référencement.

3 – Les tops of the tops. Vous avez bien compris l’intérêt de faire du contenu attractif pour vos lecteurs, mais vous êtes à bout d’imagination ? Commencez par un article « TOP 10 » sur votre thématique. Ces articles sont toujours appréciés. Ils sont plus facilement rédigés, pas besoin de faire un plan très structuré, mais simplement d’aligner des idées ! Partagés sur les réseaux sociaux, ce genre de « snack content », aura toutes les chances de performer et d’accumuler des likes de la part de vos followers. Très agréable pour l’ego !

Si vous voulez approfondir ce sujet, cliquez ici.

Si vos réseaux sociaux sont alimentés régulièrement, vous avez pu construire une audience cohérente, attentive à vos activités. Vos réseaux pourront donc servir de relais de communication sur des temps forts : lancements produits, événements, etc.

Vous pourriez aussi investir exceptionnellement dans une campagne sponsorisée. La campagne est publiée avec les outils de programmation propres aux réseaux sociaux qui offrent des options de réglages complexes. Mais en contrepartie de cette sophistication technique qu’il faut bien maîtriser, l’analyse des statistiques permet d’ajuster le paramétrage en cours de route, et de tirer des enseignements très précis à la fin de la campagne…

Définir vos objectifs de campagne

Une campagne = un objectif, c’est la première leçon, car les outils de programmation ne permettent pas de se disperser… On ne lance une campagne que lorsque vous avez un message précis à faire passer ou un objectif d’élargissement de votre impact (plus d’abonnés à vos réseaux, plus de visites sur un lien, plus de commandes…)

On créera votre campagne après avoir étudié le marché et plus particulièrement vos concurrents. La veille est toujours utile pour être au fait de ce qui se passe dans votre secteur d’activité. C’est une bonne source d’inspiration.

Il faudra réfléchir précisément à la cible. Ce qui parait une règle de base en matière de marketing prend un sens précis avec les campagnes sur les réseaux sociaux, car on nous demande lors de sa programmation, de définir finement des fonctions, des profils, des secteurs géographiques…

Lancer votre campagne et surveiller les résultats

Vos visuels et accroches doivent être en adéquation avec le réseau sur lequel on publie, tant sur le fond que sur la forme. Et c’est toujours mieux de tester différents messages. On s’assurera bien entendu que l’actualité ne vient pas interférer avec votre campagne, un message publié à contretemps pourra être inopérant ou contre-productif.

On surveillera en temps réel les résultats sur les outils de mesure pour ajuster éventuellement la campagne en fonction des résultats. Si l’audience visée renvoie des messages, c’est formidable, on répond, on like et encourage les interactions positives. Mais sinon, on ne s’entêtera pas sur une publicité sans impact, on doit avoir un plan B pour switcher rapidement de création ou de cible, car le budget file et le temps presse.

 

 

 

Les réseaux sociaux nous mettent au défi d’avoir de l’inspiration en permanence, et de créer des nouveaux contenus en flux tendu. La pression du bouclage ne devrait pas conduire à rédiger à la va-vite des sujets plats à force d’avoir été traités abondamment. Certains community managers ont recours aux fameux marronniers, ces sujets grand public qui reviennent régulièrement à la une des médias et qui ponctuent l’année de repères… A vous de juger, mais on y trouve quelques idées stimulantes pour permettre à notre plume de se renouveler…

L’organisation, remède à la page blanche

Etre curieuses et écouter tout ce qui se passe autour de nous, partout et tout le temps, c’est tout nous ! Mais, il ne s’agit pas de papillonner. On doit être sûr de ne rien rater d’essentiel dans son secteur. Il faut se discipliner, faire une veille utile sur les sujets qui intéressent l’activité de nos clients. Le premier réflexe pour ne pas être en panne d’inspiration est donc de mettre en place une curation, avec des outils professionnels qui permettent d’archiver, de commenter, d’enrichir les extraits, de commentaires personnels.

Dans cette production rigoureuse, les marronniers ont alors surtout vocation à diversifier nos angles d’attaque rédactionnels.

 

Des marronniers à portée de clavier

Le lancement de la dernière saison d’une série culte, le prochain défilé d’un créateur célèbre, la rentrée des classes, la saint-valentin, … n’ont rien à voir directement avec l’activité de nos clients, et pourtant…  Rédiger un post sur ces sujets en trouvant un lien, une tournure de phrase adéquate, une connivence sympathique avec nos publics habituels, est un défi stimulant pour nos plumes créatives.

Si les marronniers viennent au secours des journalistes, ils sauvent aussi des rédacteurs web qui ont envie de jouer avec les mots.

 

 

Avez vous une idée de l’e-reputation de votre entreprise sur le Net ? Un comptable ou un juriste vous dirait que c’est un actif, une composante de votre image de marque. Et vos commerciaux, qu’elle influence la confiance de vos prospects et clients. On ne peut pas se permettre de délaisser le sujet, c’est prendre trop de risques dans la réalisation de vos objectifs de court et moyen termes. Tout transparait sur les moteurs de recherche, vous ne devriez arriver en tête des résultats que pour de bonnes raisons.

Qui sont les acteurs qui font l’e-reputation de votre entreprise ?

Le service Communication est l’architecte et l’animateur de l’e-reputation au travers des canaux d’expression digitaux : le site Web, les articles de presse qu’on retrouve sur le Net, les bannières publicitaires on-line, les posts et interactions sur les réseaux sociaux, les réponses apportées aux commentaires des internautes sur les forums, réseaux sociaux…

Mais les collaborateurs de l’entreprise peuvent aussi individuellement contribuer à l’image de l’entreprise, et s’exprimer comme des ambassadeurs sur leurs propres réseaux. Encore faut-il le faire savoir (inciter à liker/partager les posts qui sont publiés sur Linkedin sur le compte de l’entreprise, par exemple), et cadrer les usages avec une charte pour rappeler les valeurs et la stratégie.

Vos publics, clients, prospects, sont bien moins « cadrables ». Et s’ils parlent de vous, autant que vous le sachiez pour écouter ce qui se dit, et pour réagir rapidement si besoin. L’écoute client sur Internet est devenue une composante à part entière du marketing, de nombreux outils de veille existent. La surveillance permet d’organiser la réponse éventuelle avec 3 règles : la rapidité, la courtoisie, la précision, pour désamorcer les mécontentements. On ne parle pas ici de mettre en place un plan de communication de crise (quoique…), mais seulement d’organiser les réponses du quotidien : comme on a l’habitude de répondre aux mails ou au téléphone, il faudrait répondre aux messages adressés sur les réseaux, et cela ne s’improvise pas. Le community manager est là pour traiter les questions, les dispatcher aux personnes concernées, et préparer les réponses.

Evaluer et faire évoluer votre e-reputation

Établissez une veille générale du Net, qui vous permette de suivre ce qui se dit de votre entreprise, de vos concurrents, de votre secteur.

Publiez régulièrement des messages, guidé par une politique éditoriale en vous focalisant sur les réseaux sociaux les plus importants de votre activité. Analysez à échéance régulière la réaction de vos communautés sur vos réseaux sociaux. Sans être obnubilé par les chiffres, l’objectif est de mieux comprendre votre audience, de voir son évolution en quantité et en qualité, ainsi que son comportement : à quoi réagit-elle, qu’est-ce qui lui plaît…