La salle de presse

Depuis la création de sa filiale en France en 2006, Volcom, la marque de vêtements de sports de glisse basée dans le Pays Basque, entretient un partenariat avec les Centres d’Etudes des Langues des CCI. Volcom s’appuie sur un outil de formation au service des entreprises pour améliorer les connaissances linguistiques de ses salariés dans une communication internationale.

Une filiale française devenue américanophone grâce aux CEL

Fin 2006, Volcom, groupe californien spécialisé dans les vêtements et accessoires de surf, skateboard et snowboard, crée sa filiale à Anglet, dans le Pays Basque, le pays de la glisse. Volcom France recrute massivement pour distribuer ses produits dans toute l’Europe et la formation aux langues étrangères est une condition sine qua non du succès de l’entreprise. A la recherche d’un partenaire fiable et efficace, Volcom s’est tourné vers le Centre d’Etudes de Langues de Bayonne, le prestataire référent sur ce territoire « De grandes marques bien implantées dans la région travaillaient déjà avec les CEL. Notre choix s’est donc fait tout naturellement », explique Samantha Nginn, chargée des Ressources Humaines et de la Formation chez Volcom.

La formation des CEL, un atout pour l’export

Dans le cadre d’un plan de recrutement massif prévu sur plusieurs années, Volcom s’est rapproché du CEL de Bayonne, pour perfectionner l’anglais de ses collaborateurs déjà initiés à la langue. « La maison mère américaine ayant été à l’origine de notre création, elle a été et reste toujours très présente. Notre priorité est donc de faciliter au maximum les échanges quotidiens avec nos homologues américains. Nous entretenons depuis 5 ans un contact privilégié avec les CEL, qui s’adaptent parfaitement à nos besoins », ajoute Samantha Nginn.

« La création d’une entreprise est un beau projet. Nous avons avec Volcom œuvré dans ce sens et élaboré un programme d’étude réfléchi et personnalisé. Nos méthodes d’enseignement modernes et efficaces permettent l’acquisition de la langue de la même façon que des conditions d’immersion. Nous apportons une attention particulière au suivi avec des examens internationaux appropriés et une description des compétences acquises claire et lisible grâce à l’Eurogrille Linguistique », précise Colette de Deburggraeve au Centre d’Etudes de Langues de Bayonne.

Les CEL à l’écoute des entreprises

Le climat de cette PME française est posé : il est international et nécessite une parfaite aisance avec l’accent californien. « Tous nos collaborateurs se doivent de connaître l’anglais. On apprécie le niveau lors des entretiens de recrutements. Nous devons ensuite les perfectionner et surtout les familiariser à l’accent californien, bien particulier, car le plus souvent les échanges se font par téléphone. Ce qui nous a conquis dans les CEL, c’est d’avoir trouvé un professeur d’origine californienne pour accélérer la compréhension de la langue », se réjouit Samantha Nginn.

Mais Volcom est très ouvert sur le monde : au delà de l’anglais, on y parle australien, norvégien, allemand… Les étrangers recrutés sont formés au FLE(Français Langue Etrangère) par les CEL ! Quant aux échanges avec les filiales européennes et en Espagne, ils nécessitent de nouvelles formations, notamment en espagnol, mises en place cette année….!

Une formation sur mesure

Des programmes adaptés aux résultats des tests de niveaux en ligne sont proposés par les Centres d’Etudes de Langues. Les différentes formules se complètent : du présentiel par groupe de 4 à 5 personnes à raison de 40 heures par an et par collaborateur, du téléphone… Un plan de formation sur mesure est élaboré, notamment pour les Ressources Humaines (acquisition du vocabulaire RH, simulation d’entretien de recrutement) et les assistantes, pour la prise de note en anglais lors de réunion. « Si l’on devait définir les avantages de ce réseau, j’insisterai sur la proximité géographie, le suivi régulier avec un interlocuteur unique, les tests en ligne et la souplesse des professeurs lors d’annulation de dernière minute. Mais surtout une compréhension parfaite de nos besoins ! », conclut Samantha Nginn.