La salle de presse

Devenir juriste chez un éditeur de logiciels juridiques est un débouché original pour les jeunes diplômés en droit des affaires. C’est le choix d’Oreilly Long, jeune femme dynamique et volontaire, qui a trouvé en Legal Suite un excellent tremplin pour une carrière prometteuse.

Juriste chez un éditeur spécialisé : un excellent pari

À 24 ans, Oreilly Long est juriste junior Recherche & Développement chez Legal Suite. Elle se félicite de son choix qui l’a propulsée en quelques mois dans un univers professionnel très enrichissant et formateur.
Son travail consiste à la fois à analyser les besoins des entreprises en avant-vente, à préparer les dossiers pour les appels d’offres du secteur privé ou public et à intervenir en soutien des équipes projets, du début jusqu’à la fin. « J’apporte un soutien important : certaines notions sont difficiles à comprendre pour des non-juristes. Il faut s’assurer que tout le monde parle le même langage avec la direction juridique du client, qu’il y ait une vraie cohérence dans toute démarche. »

Oreilly Long élabore des scénarii de démonstration réalistes, vérifie la conformité des contrats conclus par l’éditeur avec ses nouveaux clients et partenaires. Elle aide aussi les informaticiens à traduire les nouvelles demandes des clients pour éviter tout décalage entre la technique et la pratique. « Je fais partie d’une génération qui est née avec l’informatique. De plus en plus de juristes maîtrisent les nouvelles technologies. Il faut pouvoir leur proposer une solution complète, adaptée à leurs besoins. »

La jeune femme apprécie cette polyvalence, qu’elle trouve très enrichissante, d’autant que Legal Suite est une PME dynamique dont les clients proviennent de domaines d’activité très variés. « Je n’aurais sans doute pas connu cette diversité de projets si j’avais rejoint directement un cabinet d’avocats ou le département juridique d’une grande entreprise. Il est en effet très appréciable de voir les retombées immédiates et positives de son travail. »

Avant d’entrer chez Legal Suite, Oreilly Long a passé six ans d’études supérieures. Après une première année d’hypokhâgne, elle décide de se réorienter vers des études de droit. Deug, licence, maîtrise, elle se spécialise ensuite en droit des affaires en suivant le DESS de l’université de Versailles Saint-Quentin. « Il ne faut pas hésiter à faire des stages en été pendant ses études : cette expérience est prise en compte par les DESS puis par les entreprises », conseille la jeune femme qui en a suivi plusieurs dont le dernier dans un cabinet d’avocats. « La maîtrise de l’anglais des affaires est également un atout dès lors que l’entreprise exerce son activité à l’international. »

Son diplôme en poche, tout s’est ensuite enchaîné rapidement à la rentrée 2004. « J’ai laissé mon CV sur un site Internet dédié aux juristes (Village de la Justice). Quelques jours après, Legal Suite m’a contactée : ils cherchaient un jeune juriste ». Comme elle maîtrise bien l’informatique – chez un éditeur de logiciels, c’est primordial – elle est engagée pour un CDD de six mois, contrat qui est rapidement transformé en CDI. Désormais elle a conscience de vivre une belle aventure, à la fois professionnelle et humaine.

Legal Suite SAS, en tête sur un marché en forte croissance

Oreilly Long est arrivée au bon moment : les services juridiques des entreprises sont en pleine phase d’équipement informatique. Le marché des logiciels dédiés à ce secteur connaît un vrai boom. Legal Suite SAS, créé par des juristes pour des juristes, est l’un des premiers éditeurs à s’être positionné sur ce créneau porteur dès 2000. Aujourd’hui il fait la course en tête sur le marché français. Il a terminé un premier semestre fiscal record avec des commandes multipliées par 2,4 et un chiffre d’affaires doublé par rapport à l’année précédente. Legal Suite SAS compte plus de 135 clients fidèles, présents dans de multiples secteurs économiques et représentant plus de 200 projets . Depuis le début de l’année, de nouvelles entreprises ont opté pour la Legal Suite dont La Poste, Total, Reed Midem, Capgemini, MMA et la MAAF, Norisko…