La salle de presse

Pour la première fois, Sharvy, créateur d’une application digitale d’optimisation de parking, a sondé les usages du parking en entreprises et partage ses chiffres. Avec la progression continue de son parc géré de places de parking, on savait que Sharvy répondait à un vrai besoin, non satisfait jusqu’alors. Preuve en est, en chiffres.

Sharvy a sondé au travers de son interface, les usages des parkings d’entreprises dans son parc d’utilisateurs, en novembre 2022, les répondants correspondent à une base installée de 140 sites, 35 000 utilisateurs et 12 000 places de parking.[1]

Une place de parking prévue pour 3 collaborateurs

Un premier constat marquant : en moyenne, le parking est dimensionné pour permettre à seulement 1/3 des collaborateurs de se garer. Autrement dit, chez les entreprises utilisatrice de Sharvy, le parking disponible est prévu au plus juste, et les sites sont chroniquement en pénurie de places. Avec 75% des collaborateurs qui viennent au travail en voiture, on comprend vite qu’il pouvait y avoir, avant la mise en place de Sharvy, nombre d’épisodes de pénurie, avec une disponibilité insuffisante en places de parking entreprises.

« En ville ou sur les zones d’activité, pour des questions tout simplement de disponibilité physique en places de parkings sur le site, les entreprises ne couvrent jamais tous les besoins théoriques de parking de leurs équipes. Or, des pics de fréquentation ont toujours existé de façon structurelle mais ils sont aujourd’hui de moins en moins prévisibles avec le télétravail. Une application d’attribution automatisée comme Sharvy, révèle toute son utilité pour l’optimisation de la ressource. Utilisée au quotidien comme une nouvelle habitude, l’application devient un réflexe d’usage. Car que le parking soit plein ou pas, le conducteur ne le sait pas à l’avance, alors, il préfère prendre les devants et réserver sa place ! Il y gagne en tranquillité d’esprit », explique Stéphane Seigneurin, CEO.

Les coûts directs d’un parking sont aussi un repoussoir dans les décisions de réservation à l’année de parkings additionnelles pour une direction des Achats, quand il est impossible de prévoir les usages. Dans la plupart des grandes villes, une place de parking coûte entre 1 500€ et 2 000€ à l’année.

Les parkings ont fait leur révolution, et accueillent pour plus de la moitié d’entre eux, au moins, une place avec borne de recharge électrique ; 8,6 % ont au moins un emplacement pour les vélos ; et plus de 20% ont au moins une place moto. Ces véhicules alternatifs sont également gérés au travers de l’application Sharvy, et tout parc confondu dans l’étude, on dénombre 7,5% de places consacrées à des voitures électriques, 2% à des vélos, et 3,2% à des motos.

Malgré la limitation chronique des capacités du parking d’entreprise, le taux de réussite de Sharvy frôle le sans faute : 95 % des utilisateurs de l’application Sharvy obtiennent une place lors de leur demande de réservation. La solution leur alloue bien une place pour le créneau de temps demandé, qui sera bloquée pour eux spécifiquement.

50% de sites disposent de moins de 50 places

Les adopteurs de la solution Sharvy sont pour moitié d’entre eux, des sites disposant de moins de 50 places à gérer. La facilité de paramétrage, de déploiement et d’adoption, et son faible coût, met Sharvy à la portée de toutes les entreprises. Les PME donc, mais également, de grandes groupes, nombreux dans le portefeuille de Sharvy, avec une organisation multi-sites.

« Les collaborateurs sont régulièrement amenés à effectuer des rotations d’un site à l’autre, si bien qu’il peut être difficile pour les responsables de la sécurité ou le personnel d’accueil de faire face aux entrées et sorties de chacun. L’objectif pour les entreprises est de simplifier cette gestion multisites, en déployant une politique qui soit à la fois fiable, flexible et simple à installer », explique Stéphane Seigneurin.

Les places réservées continuent à exister dans les parkings qui ont adopté Sharvy

Les entreprises qui utilisent Sharvy ont besoin de garder un système de places réservées (par exemple, pour des questions des services pour les véhicules utilitaires), et/ou nominatives (typiquement, pour des questions de protocole), dans la plupart des cas.

« Sharvy gère ces contraintes pour le bien commun, y compris les bénéficiaires. On n’hésite pas à se garer sur une place réservée si Sharvy nous l’a indiqué comme notre place du jour. En revanche, on ne le fait pas si Sharvy nous a attribué une autre place ! C’est une façon de faire comprendre la gestion dynamique, au service de tous », explique Stéphane Seigneurin, CEO de Sharvy.

Sharvy est en effet mis à disposition de tous les conducteurs, allocataires d’une place réservée ou non, et gère l’ensemble des zones et des places de parking.

Ainsi, les bénéficiaires d’une place réservée ont pu la rendre accessible à tous leurs collègues, au travers de l’application, quand ils anticipaient ne pas en avoir besoin. Soit un tiers du temps, dans les faits.

La remise à disposition de cette frange de places réservées, permet de désengorger les demandes dans bien des cas, et de satisfaire un maximum de demandes de places émises par les non titulaires.

L’application est utilisée 2 fois sur 3, au travers de l’interface mobile.

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[1] sur les parkings de plus de 10 places. Hors sites gratuits et espaces de démo Sharvy. Données anonymisées

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