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Labo Express gère son activité avec LaboManager édité par Geoloc Systems

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    INNOVATION

    Opérant dans le secteur du transport médical, Labo Express est l’utilisateur-pilote du progiciel de Geoloc Systems, un outil complet de gestion d’activité allant de la prise de commande à la facturation. Un concentré de technologies intégrant la géolocalisation (localisation des véhicules en temps réel), l’optimisation des tournées (suivi des courses avec cartographie), et la NFC (Near Field Communication ou technologie de communication sans contact), une traçabilité sans contact des colis, pour une solution unique sur le marché.

     

    Un environnement métier à fortes contraintes

    Les sociétés de transport spécialisées qui livrent en express greffons, implants, vaccins, médicaments, poches de sangs… sont un maillon indispensable de la chaîne logistique de la santé.

    Or, leur activité évolue dans un contexte à fortes contraintes : course contre la montre, garanties sanitaires, mais aussi exigences de traçabilité et de sécurité imposées par les clients et les laboratoires médicaux soumis à la certification Cofrac.

    Leur système d’information doit désormais détailler les conditions de livraison et apporter un suivi des colis. L’informatisation de l’activité est donc un enjeu prédominant.

    Un logiciel à la pointe du suivi sanitaire…

    Avec sa trentaine de collaborateurs et une flotte de 19 véhicules légers et 4 motos, tous géolocalisés par les soins de Geoloc Systems, Labo Express effectue 40 000 transports par an, entre trajets urbains et urgences vitales.

    Pour remplir ses missions dans les délais imposés, 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24, Labo Express a choisi de s’appuyer sur un outil d’optimisation, le progiciel métier développé par Geoloc Systems. LaboManager permet aujourd’hui à la PME de faire face à une croissance très rapide. C’est même devenu son atout concurrentiel majeur dans un secteur en phase de normalisation.

    … pour gérer les tournées et intégrer les urgences

    Car si ses voitures qui sillonnent les routes, gyrophares et sirènes allumés, ont à leur bord des produits médicaux vitaux qui doivent arriver de toute urgence, Labo Express gère aussi chaque jour des tournées plus prévisibles entre laboratoires et hôpitaux, et transporte tout simplement dans ce cas des prélèvements à analyser.

    LaboManager améliore l’efficacité de l’entreprise au quotidien en gérant les courses depuis leur enregistrement par le dispatcheur jusqu’à la facturation en fin de mois.

    « Pour nous, améliorer le transport, c’est souvent sauver des vies, en livrant les blocs opératoires plus vite pour permettre au corps médical d’intervenir dans des situations d’urgence et de crises quotidiennes », explique Serge Gautier, créateur de Labo Express, à l’initiative de ce projet informatique dans l’entreprise.

    Des fonctionnalités spécifiques à la livraison de produits sensibles

    LaboManager regroupe toutes les briques techniques nécessaires à la gestion de l’activité : géolocalisation, messagerie, éditeur de rapports, planificateur d’entretien des véhicules… Le logiciel couvre toutes les étapes des missions :

    • La saisie des courses en ligne après réception de la commande client par téléphone,
    • La messagerie (envoi automatique de la mission et des informations utiles) vers le smartphone du chauffeur le plus proche
    • La traçabilité en temps réel de chaque véhicule de la flotte
    • Le reporting client et la facturation.

    L’outil intègre aussi le relevé des émissions de CO2 par véhicule, qui nourrit les Bilans Carbone des clients dressés en fin d’année.

    Et enfin, il est relié à une solution NFC pour suivre les colis transportés.

    Cette plateforme est désormais au centre de la communication entre les hôpitaux, les laboratoires et la société de course : les clients bénéficient d’un accès Web (extranet) à la plateforme leur permettant de consulter un ensemble de rapports en temps réel.

    « L’outil de Geoloc Systems nous a permis de faire des ajustements contractuels avec nos clients, en renégociant les tarifs de nos prestations car nous nous sommes aperçus que le kilométrage dépassait parfois les engagements initiaux. Des avenants ont donc été signés, ce qui nous a permis de gagner 10 000 euros par an », explique Serge Gautier, gérant de Labo Express.

    Après 3 ans de chantier, l’agence d’architecture AART FARAH a livré le nouveau centre hospitalier de Calais le 24 juillet dernier. La solution OPR6 de Wapp6 a permis à AART FARAH de respecter les délais de construction grâce une transmission des informations à tous les intervenants du projet, en temps réel.

    Spécialiste de l’architecture hospitalière depuis plus de 30 ans, le cabinet AART FARAH a conçu et réalisé le nouveau Centre Hospitalier de Calais MCO(Médico-Chirurgico-Obstétrique) de la région. Ce projet, dont les travaux ont été estimés à 120 millions d’euros, a pu être livré dans les délais, grâce à la solution OPR6 de Wapp6 utilisée sur les 3 derniers mois de la réalisation.

    La plateforme informatique ORP6 de Wapp6 a permis de gérer les opérations préalables à réception avec les 11 entreprises. Disponible sur tablettes Androïd ou IPAD, elle diffuse en temps réel, sur une interface accessible par tous de façon sécurisée, l’ensemble des plans pour suivre la levée des réserves notifiées sur site. Le maître d’œuvre n’a plus qu’à valider l’évolution des travaux.

    « C’est une vraie nouveauté pour nous que de pouvoir communiquer en direct avec chaque entreprise, tout corps de métier confondu. La solution ORP6 est un outil flexible, facile d’utilisation, qui garantit la traçabilité des réserves. Fini le temps des plans sur papier, des tableaux Excel sur lesquels on cochait les contrôles effectués. C’est un gain de temps indéniable pour tous »,explique Cyprien Decamps, Chef du Projet chez AART FARAH.

    « La solution OPR6 s’adapte à chaque typologie de projet et permet d’améliorer l’efficacité des échanges entre le MOE, son Maître d’Ouvrage et l’entreprise. OPR6 permet de saisir des réserves quelle que soit la phase du projet pour, au final, éditer les rapports utiles à chacun, et lever les réserves dans un délai optimal. », explique Frank Meudec, PDG et fondateur de Wapp6.

    « La maîtrise de la solution est facile, et les formateurs de Wapp6 ont su être à notre écoute et adapter l’outil à nos besoins. Nous allons d’ailleurs la réutiliser pour notre prochain dossier : l’extension du Centre hospitalier LA TIMONE à Marseille qui a commencé », se réjouit Cyprien Decamps.

    Cette année encore, le concours IPA de l’Innovation a permis aux exposants du salon de présenter leurs dernières innovations qu’ils exposeront du 21 au 25 octobre à Paris Nord – Villepinte, dans le Hall 5B. Le Concours d’IPA récompense l’excellence technologique et démontre la force de l’innovation dans l’industrie agroalimentaire. Un jury composé d’une douzaine d’experts du secteur et de journalistes de la presse spécialisée, s’est réuni le 28 juin dernier pour sélectionner les Nominés du Concours IPA de l’Innovation. Une quarantaine de dossiers étaient présentés par des fabricants ou des distributeurs, des laboratoires de recherche ou des bureaux d’études français ou étrangers, tous exposants sur IPA 2012. Au terme de cette sélection, 11 Nominés ont été retenus, pour 4 Prix : « Qualité Hygiène », « Procédés », « Équipement et Contrôle », « Eco-Innovation ».

    Les Lauréats seront dévoilés le 3 septembre 2012

    La cérémonie de la remise des Prix du Concours IPA de l’Innovation aura lieu sur le salon, le lundi 22 octobre, en présence d’un représentant du Ministère de l’Agriculture de l’Agro-alimentaire et de la Forêt qui remettra également un 5ème Prix du Ministère.

    Un jury d’une douzaine d’experts en innovation agro-alimentaire

    Pour le concours IPA de l’Innovation, le jury se compose de journalistes de la presse professionnelle et de représentants éminents des Institutions partenaires d’IPA.

    – Didier Majou, Directeur de l’Actia

    – Gilles Trystram, Directeur Général d’AgroParisTech

    – Thierry Benezech, Directeur de Recherche Physicochimie des interactions et hygiènes des matériaux de l’INRA Lille

    – Jean-Pierre Guyonnet, Directeur Adjoint Technologie du CNIEL

    – Stéphanie Bordes, Chargée de Mission au Ministère de l’Agriculture, de l’Agro-alimentaire et de la Forêt

    – François Zuber, Directeur Scientifique du CTCPA

    – Philippe Caniaux, Directeur d’AGIR

    « Tous les exposants ne sont pas candidats. Ce sont véritablement les plus innovants qui concourent : IPA 2012 sera pour eux l’occasion de mettre en avant une avant-première nationale européenne ou mondiale, d’orchestrer un lancement de produit nouveau, voire de dévoiler un prototype », explique Valérie Dissaux, Responsable Communication du salon.

    Pour la catégorie « Qualité Hygiène »,

    3 innovations ont été distinguées. La sécurité sanitaire et la traçabilité des aliments sont des préoccupations permanentes des industriels et de leurs fournisseurs, elle prend des formes multiples : technologies de conservation, maîtrise de l’hygiène et de la désinfection en usine, conception hygiénique des équipements, nouvelles technologies de pasteurisation, de stérilisation, de cuisson, etc… En témoignent les 3 Nominés.

    Bizerba, pour sa nouvelle balance iL professionnelle SPM, dont la conception ergonomique soignée permet de se garantir contre les risques de contamination bactérienne. Facilité de nettoyage, réduction du nombre de pièces et utilisation de matériaux de grande qualité sont mises en avant, pour cet équipement conforme aux critères définis par l’EHEDG (European Hygienic Engineering and Design Group).

    IBL Specifik, pour son STAMBIO, un système de désinfection des surfaces par voie aérienne associant de façon inédite, la vapeur de peroxyde d’hydrogène et l’air comprimé. Le désinfecteur vapeur STAMBIO, qui s’aligne sur la norme NF T72-281, a été mis au point après de nombreuses années de recherche et développement.

    Industrade, pour son DEVROVAC NM, un équipement portatif dédié au décrottage des peaux de bovins sur les chaînes d’abattage. Il est muni d’un système d’aspiration qui permet de décontaminer les zones à risque. En important en Europe cet équipement déjà utilisé aux Etats- Unis, Industrade permet à la filière de s’aligner sur des pratiques éprouvées, tout en améliorant les conditions de travail.

    Dans la catégorie « Eco-Innovation »,

    2 nominés auront retenu l’attention du Jury. Ce sont les conditions environnementales, l’éco-conception des produits et des procédés qui ont été notées par le jury. On a demandé aux candidats d’expliquer comment leur innovation favorisait la réduction de la consommation d’énergie, d’eau, de fluides, de matières, de temps de process…

    On notera que cette distinction revêt une valeur particulière pour les 2 Nominés, compte tenu de l’importance de la thématique d’Eco-conception au sein d’IPA 2012.

    D’ailleurs, le duo bénéficiera d’une exposition supplémentaire sur le stand de « l’Usine de demain », animation phare du salon.

    Jules Richard Instruments, pour son Mini SPY RF Green, un système sans fil, petit et compact, dédié au contrôle de températures des produits thermosensibles. Adapté au suivi de la chaîne du froid, cet enregistreur est entièrement recyclable, sans aucun composant en plomb, ni mercure.

    Servinox, pour sa vanne de lavage LPA, une vanne affleurante, montée en virole de cuve pour permettre de nettoyer les «zones d’ombre» générées par les pâles d’agitation, des zones inatteignables et donc impossibles à nettoyer directement avec la boule de lavage principale de la cuve. Réalisée sur-mesure en fonction des plans de la cuve et de son mélangeur, la vanne permet un ciblage spécifique des zones à nettoyer.

    La catégorie « équipement Contrôle »

    récompense les innovations portant sur les outils d’information et de modélisation au service de la gestion de la production.

    En 2012, les 3 nominés sont :

    Spectralys, pour son analyseur de fluorescence conventionnelle AMALTHEYS. Cet équipement, issu de 15 ans de recherche, cible particulièrement l’industrie laitière à qui elle permet, pour la première fois, de mesurer directement les protéines sériques solubles, ainsi qu’un indice cumulatif des traitements thermiques pour le lait (cru, thermisé, pasteurisé, etc.) et ses dérivés (rétentats et perméats de filtration, sérums, etc.). La méthode apporte un gain de rapidité notable.

    Handtmann, pour sa nouvelle Unité de Contrôle logicielle, installée sur l’ordinateur en production entre la balance et la machine de poussage. Ce logiciel, testé notamment en charcuterie, permet un gain de matière significatif, de l’ordre de 5 grammes par saucisse fabriquée, en activant la fermeture du poussoir à la seconde même où le poids de matière versée est atteint.

    Neogen, pour son système ANSR qui intègre les dernières avancées dans le domaine de la détection d’ADN. Conçu pour répondre aux besoins d’analyse sur site, ANSR permet de traiter rapidement et facilement des échantillons et de s’assurer que les exigences réglementaires en matière de sécurité des aliments sont bien respectées.

    Enfin, dans la catégorie « Procédés »

    qui distingue des techniques et compétences mises en œuvre dans la conduite de procédés ou de chaînes technologiques, les 3 nominations sont :

    Clextral, pour son procédé breveté d’Extusion Porosification Technology (EPT) développé avec Murray Goulburn Coop et Inovo, qui améliore la texturation de poudres poreuses à partir de matières à haute viscosité. Des économies d’énergie significatives (20-40%) sont constatées selon les produits fabriqués. Un procédé qui a retenu l’intérêt pour ses bénéfices appliqués à l’industrie laitière.

    John Bean, pour son Dry-Fry, un système de cuisson allégée pour les aliments frits, associant la vaporisation d’huile, un four en continu et un surgélateur/refroidisseur à spirale, pour permettre de réduire de manière significative la quantité d’huile présente dans le produit. Le but est de produire des aliments plus sains qui restent appétissants.

    Clauger, pour son nouveau conditionneur d’air Bio Control Cyclonique,relevant très fortement le niveau d’hygiène par rapport aux technologies existantes de froid humide. Utilisé pour des applications d’affinage de pâtes molles en fromagerie, il permet de maintenir des conditions d’ambiance, proche de la saturation (98 % d’hygrométrie).

    « Ce Concours constitue un fil rouge pour les visiteurs, qui pourront facilement repérer sur le salon les Lauréats et les Nominés, et se rendre sur les stands des sociétés distinguées pour leur effort d’innovation », explique Christophe Painvin, Directeur Général du salon.

    De l’innovation produit à l’innovation de procédé avec le Forum Innovation Recherche

    L’innovation est stratégique pour les IAA car elle permet d’augmenter leur productivité, de se différencier par rapport aux concurrents. Ainsi le Forum Innovation Recherche répondra aux différentes problématiques des IAA avec un cycle européen de conférences thématiques ouvert librement à tous les visiteurs, le

    Forum Innovation Recherche (FIR) propose des interventions sur cinq grandes thématiques :

    • L’Innovation procédé

    • Les nouveaux enjeux environnementaux

    • Performance industrielle

    • Économies d’énergie

    • Des solutions innovantes au service de l’emballage.

    Découvrez en avant-première le programme du Forum

    Les deux marques de TOMRA Sorting AS, TITECH pour le recyclage et ODENBERG pour l’industrie agroalimentaire, vont bénéficier de l’arrivée dans le groupe de BEST. BEST, société belge installée à Louvain est spécialiste des technologies de tri optique avancées. Un accord a été signé le 31 mai 2012 avec les dirigeants de BEST Kwadraat NV (BEST). TOMRA Sorting acquiert 100 % des parts de BEST ; la transaction devrait se conclure début juillet 2012.

    Une offre élargie de plates-formes de tri par capteurs

    L’acquisition de BEST est une nouvelle étape importante de la stratégie de TOMRA Sorting pour renforcer sa position et son offre au sein du marché du tri par capteurs. Avec le tri par laser, la société belge complète la gamme des technologies déjà développées par TOMRA. BEST aura accès à toutes les technologies de capteurs de TOMRA Sorting. Les clients des deux sociétés pourront bénéficier d’un choix étendu de technologies de capteurs par laser, caméra, à fluorescence et transmission X, LED, proche et moyen infrarouge.

    BEST, ODENBERG et TITECH vont ainsi pouvoir associer leurs expériences en termes d’applications et leur expertise dans les domaines de l’agroalimentaire et du recyclage.

    Une présence forte sur le marché

    Conjointement, BEST et TOMRA Sorting sont présents sur 30 sites et sur 5 continents. BEST dispose également d’un réseau de plus de 60 agents commerciaux dédiés, répartis dans un grand nombre de zones géographiques.

    Rune Marthinussen, directeur général de TOMRA Sorting, déclare : « Grâce à l’association de technologies de pointe et de prestations de service complètes, nos clients bénéficieront de produits haute performance et d’un niveau de service amélioré. »

    Le PDG de BEST, Paul Berghmans, explique : « BEST et TOMRA Sorting se complètent parfaitement en termes de technologie et de présence sur le marché. Cela profitera directement à nos clients et renforcera notre organisation. »

    Phytorestore est le spécialiste mondial d’une méthode douce de traitement des eaux usées, les Jardins Filtrants®. Phytorestore qui intervient dans le monde entier pour de grands projets urbains, vient de livrer une station d’épuration au centre de compostage de Chambéry métropole (73).

     

    Performances et esthétique

    La communauté d’agglomération de Chambéry métropole va inaugurer le 30 juin prochain les jardins filtrants pour le traitement des eaux usées produites par sa plateforme de compostage de déchets verts, à Champlat. Chambéry métropole qui dès le départ s’orientait sur des technologies vertes, a fait confiance à Phytorestore. Le projet a été gagné en 2011, livré il y a quelques semaines et démontre les performances très élevées de la technique de phytorestauration mise au point par Phytorestore : ses Jardins Filtrants® sont de véritables filtres organiques à base de plantes dépolluantes, issus de 15 ans de recherches menées avec l’appui du CNRS.

    Phytorestore profite de sa production à grande échelle de plantes filtrantes, installée depuis 3 ans en Seine-et-Marne, pour mettre en œuvre facilement des installations de ce type.

    En images

    Le volume annuel des eaux à traiter à Champlat dépasse les 12 000 m3. Aucun traitement physico-chimique n’est nécessaire, l‘installation se composant d’une succession d’étages de filtres organiques verticaux et de filtres horizontaux. Pour optimiser les flux d’eau sur la plateforme, un bassin de rétention a été creusé en amont.

    « Notre technologie témoigne de la possibilité de traiter les eaux usées à des coûts économiques : à l’heure où le débat sur le traitement de l’eau est de plus en plus crucial, nous sommes heureux de pouvoir apporter une solution efficace, facile à mettre en place. Elle génère également des emplois sur toute la filière environnementale, notamment pour la production des plantes filtrantes », explique Thierry Jacquet, Président-fondateur de Phytorestore.

    L’installation de Chamblat, à Chambéry métropole, combine des qualités d’esthétique paysagère et de performances techniques.

    Quelques mots sur la technique

    Les eaux provenant de la plateforme de compostage sont décantées dans un premier bassin qui réceptionne également les eaux de ruissellement provenant des andains.

    L’eau chargée en polluants est distribuée dans les filtres verticaux où elle est traitée verticalement puis gravitairement dans les filtres horizontaux. Les plantes utilisées sont variées : Juncus lacustris, Phalaris arundicea, Glyceria aquatic, Phragmite australis, Typha latifolia, Pouzzolane…

    Les concentrations en polluants, tombent ainsi de 160 mg/L à 17 g pour le MEST (bien en deça de la norme fixée à 100 mg/L). Il en est de même pour tous les polluants détectés.

    Après 6 années de travaux, le bâtiment a été livré comme prévu fin février, au Ministère de la Défense. Wapp6 et son outil OPR6 sont parties prenantes de cette réussite.

    L’agence Architectes Ingénieurs Associés a métamorphosé la tour F, immeuble de l’armée de l’air datant des années 70. Un chantier de rénovation spectaculaire que les parisiens ont pu observer depuis le périphérique Sud, à Balard.

    Adepte de l’échange de données informatiques avec ses partenaires, AIA a adopté OPR6 sur les 3 dernières années du projet pour gérer les 25 entreprises intervenantes. Une très belle référence pour l’éditeur Wapp6 et un client qui lui a permis de perfectionner son application sur le terrain.

    Un projet ambitieux

    Pour AIA, la Tour F est la première utilisation d’OPR6. Au moment de l’adoption, l’outil est tout juste lancé sur le marché. Mais le gain de productivité promis par cet outil collaboratif de gestion des réserves est si important que le grand cabinet d’architecture s’y intéresse pour ce projet stratégique.

    Et c’est bien avant la phase des opérations préalables à la réception, bien en amont de la livraison, que l’outil devient un compagnon de travail pour l’équipe de François Thomas, responsable du service travaux chez AIA Paris.

    AIA, en tant que « bureau des méthodes » du chantier se doit d’être irréprochable dans le choix de ses outils. Aussi, François Thomas réalise pendant tout un mois un test fonctionnel qui le convainc à la fois de la maturité de l’outil, et de la solidité du support informatique et du service client de la société Wapp6.

    « L’outil se devait d’être fiable à 100% compte tenu de l’enjeu, il sera au fil des mois un pivot de communication entre les différentes parties prenantes, les 25 entreprises à coordonner sur le chantier, AIA et le maître d’ouvrage… ».

    Appartenant au Ministère de la Défense, les travaux du bâtiment sont soumis à la réglementation des Marchés Publics, et régi par le CCAG (cahier des clauses administratives générales). A compter de la date officielle de fin des travaux, il ne reste que 20 jours au maître d’œuvre pour procéder aux OPR(Opérations Préalables à la Réception) ; 20 jours calendaires pour contrôler la totalité d’un bâtiment qui a nécessité des années de travaux, qui compte 35 000 m2 de surface, c’est un défi !

    François Thomas décide d’utiliser OPR6 en contrôle continu

    Sur un bâtiment comme la Tour F, on parle de 50 000 réserves tout au long du chantier…. Une complexité que seule l’informatique peut gérer, un tableur Excel étant vite dépassé….

    Si le rythme de contrôle s’accélère à la fin, c’est tout au long du chantier qu’il faut faire du contrôle d’exécution. « En tant de maître d’œuvre, nous avons constaté une vraie amélioration dans notre travail quotidien. » Les gains de temps sont importants en termes de suivi, comparé à la méthode de travail traditionnelle qui repose sur des prises de notes sur des cahiers ou sur des liasses de plans papier au moment des visites de chantiers. La synchronisation par internet avec la base centralisée est immédiate, la diffusion se fait en temps réel chez les entreprises qui doivent intervenir.

    Finis les plans papiers à imprimer, et à manipuler aux quatre vents, les feutres qui bavent…. Finie l’écriture que la secrétaire ne lit pas, le temps passé à faire saisir, relire, corriger et valider et diffuser le compte-rendu de visite. Quand on fait 2 ou 3 visites de chantier par jour, quel gain de temps !

    « Utiliser l’outil de bout en bout nous a permis d’habituer tous les intervenants à l’outil, de permettre l’appropriation et d’alléger la pression à l’étape de livraison, pour les opérations préalables à la réception. A la fin, nous avons édité 25 PV de réception des travaux, avec la liste des réserves, les entreprises connaissaient déjà le format du document, et ont signé rapidement leur PV ».

    Ces PV, qui confrontent les entreprises à la liste des réserves constatées par le maitre d’œuvre, sont imprimés directement d’OPR6. Un document à valeur contractuelle, clair et net.

    Le maître d’ouvrage a lui aussi bénéficié du partage d’informations, facilitant son organisation : il a pu savoir s’il y avait des retards en toute transparence, quand il pouvait programmer son déménagement en toute fiabilité. Il a suivi les levées de réserves pour chaque entreprise, grâce aux statistiques calculées par OPR6.

    Entre le début du projet et la fin, l’iPad est apparu après son lancement par Apple en avril 2010. Loin d’être un gadget, « c’est une vraie bonne surprise, apportant légèreté et ergonomie, même si la tablette PC avec son stylet (voir le PC) reste un incontournable de part la stratégie des services informatiques, ou encore lorsque certaines phases du projet le nécessite pour répondre aux urgences du chantier, et que seules 2 tablettes ont été acquises. »

    L’application OPR6 est disponible sur la version iPad, Android et windows.

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