INNOVATION

Le service de transport à la demande, sur navette autonome, relie à 30km/h la gare de Aix TGV et le campus TheCamp. MILLA démontre à Aix, la pertinence de ses choix matériels et logiciels, avec sa navette autonome tout terrain. A suivre, d’autres lancements imminents dans d’autres régions !

MILLA Group étend ses déploiements de service de transport à la demande, pour le compte des collectivités territoriales.

Le service de transport, lancé à Aix-en-Provence avec MILLA, valide la robustesse et l’adaptabilité de son véhicule autonome, sur tout type d’environnement de conduite. En effet, le parcours entre la gare Aix-TGV et le campus, combine une portion de route départementale à fort trafic, des chemins forestiers non motorisés, et des routes goudronnées sur zone d’activité. Le trajet est parcouru à une vitesse moyenne de 30 km/h.

« MILLA se positionne en chef de file de l’innovation dans le véhicule autonome, la deuxième génération d’acteurs avec une technologie robuste et tout terrain, qui peut parcourir de longue distance à une vitesse jusqu’à 50 km/h. Nous maîtrisons les deux composantes de la chaîne de valeur, la construction du véhicule et le logiciel de conduite, pour assurer un service fiable et sécurisé, de bout en bout, et garantir à tout moment le fonctionnement opérationnel de nos navettes », explique Frédéric MATHIS, CEO de MILLA.

TheCamp, est un campus sur la zone d’activité de la Duranne situé à la périphérie de Aix-en-Provence. Il draine quotidiennement des visiteurs pour de la formation, l’accompagnement de start-ups, du coworking. En 2017, TheCamp a initié un chantier de réflexion pour intégrer le transport autonome dans les modes d’accès à son site, et MILLA a été retenu pour concrétiser le projet.

« Après appel d’offres, c’est la start-up MILLA Group qui a été retenue par la Métropole Aix Marseille Provence, et TheCamp », explique Jonathan BLAISE, chef de projet innovation de TheCamp. « Le but est de démontrer qu’il est possible de proposer des modes de transport collectifs alternatifs en zone périurbaine et rurale, des zones qui restent compliquées à équiper pour les collectivités territoriales. C’est une grande nouveauté par rapport aux autres expérimentations », indique d’ailleurs le chef de projet, « car la majorité des véhicules de ce type vont à entre 5 et 15 km/h. Nous avons un trajet plus long à parcourir (10 km), l’objectif était de raccourcir le temps de transport. »

Ce service de transport à la demande démontre en vraie grandeur, à la fois la robustesse de la technologie MILLA sur différents types de route, et l’acceptabilité par les usagers de ce type de transport autonome.

Baptisé la « Demoiselle », le véhicule électrique circule depuis le 4 janvier entre la gare TGV d’Aix-en-Provence et le campus. Les visiteurs ou employés des entreprises hébergées ^[1]^,peuvent emprunter une navette collective de six places et la réserver à la demande via une application mobile.

Au cœur du savoir-faire de MILLA

La gamme de véhicules légers et automatisés de MILLA peuvent rouler jusqu’à 50 km/h et permettent d’organiser, selon les cas, un service de transport à la demande ou des tournées de ramassage dans des véhicules entièrement autonomes d’une capacité jusqu’à 22 places. Les navettes MILLA sont des moteurs de différenciation et d’innovation. Elles sont les premiers véhicules légers automatisés au monde à fonctionner quotidiennement sur route ouverte avec des vitesses supérieures à 20 km/h sans voie dédiée. Elles s’insèrent sans difficulté dans le trafic.

Les MILLA, circulant sur les routes départementales en mode autonome sont en mesure d’apporter une solution de mobilité écologique complémentaire à l’existant et accessible à tous.

« Avec ce service aux usagers rendu à Aix, MILLA détient ainsi l’occasion de démontrer ses performances », explique Frédéric MATHIS. « Nous avons développé une solution fiable de localisation pour les zones déstructurées, qui équipe tous nos types de véhicules, et nous permet d’être véritablement tout terrain. Le parcours est de 10 kilomètres à Aix, et MILLA prépare actuellement un autre lancement de service de transport autonome en zone rurale, pour un parcours de près de 40 km. »

A suivre….

A propos de TheCamp

Niché dans un écrin de verdure à la lisière d’Aix- en-Provence et Marseille, cet espace est inspiré des campus américains mais aussi des accélérateurs et des fablabs. Hub futuriste au cœur d’un environnement naturel exceptionnel, on peut y vivre et y dormir quelques jours ou quelques mois, y expérimenter de nouvelles manières de manger, travailler et prototyper, participer à des événements ou créer de nouveaux liens à travers de nombreuses activités.

70K Visiteurs accueillis depuis juillet 2017, +3000 personnes formées (COMEX, CODIR, managers, collaborateurs)

Pour en savoir plus : https://www.thecamp.fr/

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[1] adhérentes à l’association « Thecamp Demoiselle

Alerte presse

KUANTIC sera présent sur le Salon AUTONOMY Paris & the Urban Mobility Weekly les 16 et 17 mars, à Paris, Porte de Versailles (VIPARIS)

Stand E23

Rendez-vous avec le Top Management sur le stand de KUANTIC, Mercredi 16 et jeudi 17 mars, à votre convenance !

L’occasion de reprendre contact avec l’actualité de la gestion de flottes automobiles :

Les nouveautés en matière d’autopartage

La nouvelle application de paiement automatique de parking

Les projets sur l’in car delivery…

Et la feuille de route de KUANTIC en matière de gestion de flottes…

La transition énergétique ouvre de grands besoins dans le domaine du Service aux entreprises : il s’agit d’accompagner de façon personnalisée les gestionnaires de flottes dans la meilleure compréhension de leurs besoins de mobilité, selon leurs métiers et leur organisation. L’optimisation de leur parc passe chez KUANTIC, par la définition et la création d’indicateurs pertinents, dynamiques, issus de la Business Intelligence (autopartage, transition électrique, etc).

Le modèle économique de KUANTIC est parti pour basculer progressivement de la vente et installation de boitiers télématiques, à une activité de services : soit sous forme de consulting et d’accompagnement personnalisé du gestionnaire de parc avec des outils issus de la business intelligence, soit sous forme d’applications métiers exploitant la connectivité et les datas issues de la télématique embarquée (Data as a service).

2022 va voir ces axes se préciser. Nous allons adresser un marché des entreprises de plus en plus décidé à bouger, à réduire l’empreinte carbone, à innover, à transformer les chaines de valeur…

MILLA est présent à l’évènement « Sommet Ferroviaire Européen » en tant que partenaire technologique de la SNCF § L’exposition « Le rail, vers un transport plus vert et plus innovant » qui aura lieu jusqu’au 4 mars, permet à MILLA de bénéficier d’une mise en avant exceptionnelle auprès des acteurs des territoires en charge du transport de voyageurs.

Coup de projecteur

MILLA a été choisi par la SNCF avec Michelin et Railenium, pour co-concevoir et produire la première navette rail-route à destination des petites lignes ferroviaires, FLEXY.

« MILLA a été retenu pour sa capacité à produire des véhicules robustes et innovants, pouvant être déployés au besoin, en mode conduite autonome, sans conducteur », commente Frédéric Mathis, Président de MILLA : « Merci à la SNCF de nous avoir choisi pour fournir les navettes rail-route ! C’est un très beau projet qui permet de mettre en place une vraie solution de mobilité pour tous. »

« Notre future navette rail-route FLEXY est une solution de mobilité disruptive 100% électrique permettant d’emprunter à la fois les petites lignes ferroviaires et les petites routes pour relier les communes rurales entre elles, et faciliter leur accès aux gares et au train. C’est dès 2024 qu’un premier exemplaire circulera sur une ligne pilote en région », explique David BOROT, Directeur de Tech4Mobility et Directeur des Programmes d’innovation Mobilités émergentes.

A propos du programme Tech4Mobility de la Direction Innovation & Recherche du Groupe SNCF

Le programme T4M a en charge de concevoir et tester de nouvelles solutions de mobilité collectives et partagées destinées en priorité aux territoires peu denses (ruraux et diffus). Ces expérimentations ou démonstrateurs doivent permettre aux territoires et au Groupe SNCF de dé-risquer de nouvelles technologies, de nouveaux usages clients et de tester des modèles d’affaires propres à ces territoires. Le défi d’offrir de nouveaux modèles de déplacements (serviciels, technologiques et économiques) à ces territoires situés en zones blanches de mobilités est un enjeu de société majeur : réduire la fracture territoriale, favoriser la cohésion sociale, accompagner le développement démographique et économique, décarboner les mobilités et augmenter la part du ferroviaire dans les territoires moins denses.

À travers les projets SNCF de « Trains très légers » développés au sein du programme Tech4Mobility, le projet de navettes rail-route FLEXY cherche à adapter au ferroviaire des solutions et technologies automobiles, pour concevoir un nouveau système de transport collectif et offrir de nouveaux matériels moins capacitaires et complémentaires du TER et du futur train léger.

–) Organisation d’interviews avec le Président de MILLA, Frédéric MATHIS. En tête à tête ou par téléphone, selon convenance.

<< Pour découvrir MILLA, faire le point sur le marché du véhicule autonome en France et son environnement technologique (entre autres, l’impact de la 5G sur la smart city et le véhicule autonome), nous vous proposons de rencontrer le président de MILLA Group, Frédéric Mathis.

Frédéric MATHIS travaille depuis plus de 20 ans dans l’industrie automobile. Directeur de programme, responsable de l’innovation, il a dirigé le premier programme véhicule autonome du groupe Renault. Son intérêt pour les nouveaux systèmes de mobilité l’a conduit à VEDECOM (institut de transition énergétique), où il manageait les programmes véhicules autonomes, puis comme Président de VEDECOM Tech, filiale de VEDECOM. Impliqué dans de nombreux projets internationaux sur la mobilité durable, il a développé un réseau d’expertise et de multiples expérimentations. En 2017 il a créé MILLA, une start-up française qui propose des solutions de mobilité durable pouvant être déployées rapidement dans les territoires. En s’appuyant sur son savoir-faire automobile – processus, management, plan qualité -, Frédéric Mathis propose via MILLA des solutions pragmatiques et efficaces pour une mobilité autonome à la demande.

Installée en Isère, la société MTB est un acteur reconnu du recyclage des métaux non ferreux. MTB vient de développer une ligne Zero Waste Metal, intégrant deux machines TOMRA. Cet investissement récompense une collaboration fructueuse entre TOMRA et MTB au service de leurs clients communs.

Un savoir-faire d’expert dans le tri des métaux

MTB est la référence dans le recyclage des métaux non ferreux ; l’entreprise traite 50 000 tonnes de déchets par an sur son site historique de Trept afin de fournir le marché en matières premières secondaires Haute Qualité (grenailles de cuivre, grenailles d’aluminium…).

En plus du recyclage des métaux auquel l’entreprise se consacre depuis 40 ans, MTB est fabricant d’équipements. En effet, MTB conçoit et installe sur site clients ses propres équipements dédiés au tri des métaux : pré-broyeurs, broyeurs, cisailles, granulateurs, séparateurs magnétiques, machine à courant de Foucault, etc. pour des applications variées : câbles, déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE), déchets industriels banals (DIB), pneus, ferrailles…

Une collaboration suivie avec TOMRA, depuis 10 ans

La collaboration entre MTB et TOMRA s’enracine dans dix ans de projets communs. Elle leur permet de proposer des réponses technologiques globales aux problématiques des clients. Depuis 2011, en effet, avec la reprise de l’entreprise par Jean-Philippe Fusier, l’actuel président, MTB a accentué ses développements et son ouverture internationale. MTB et TOMRA ont ainsi entamé leur partenariat technologique sur le continent nord-américain, pour l’étendre peu à peu partout où les dossiers clients requièrent leur savoir-faire mutualisé. La relation s’est donc développée, à la faveur des synergies industrielles et des affinités professionnelles.

« Nous sommes en relation avec toutes les équipes chez TOMRA, partout dans le monde, les équipes locales en France bien sûr, mais également les équipes en Allemagne au centre de test. Et nous retrouvons chaque année sur la convention ISRI aux Etats-Unis, les experts internationaux de TOMRA avec qui nous avons conduit des dossiers clients. Autant d’occasions d’échanges pour forger une relation de proximité et de confiance dans le temps », explique le Responsable Commercial MTB Manufacturing, Romain Doeppen.

Au-delà de l’excellence technologique que MTB reconnait sans conteste à la gamme produits TOMRA, c’est aussi l’implication des équipes qui fait la différence pour l’intégrateur.

« Les équipes TOMRA sont à l’écoute, très volontaires, véritablement engagées à nos côtés pour co-construire des réponses et proposer les meilleures combinaisons technologiques – AUTOSORT, FINDER, XTRACT, COMBISENSE, … Nous sommes certains avec TOMRA d’optimiser les résultats du tri chez les clients, donc la valeur des flux matières, et in fine, le ROI de leurs investissements », explique Romain Doeppen. « De part et d’autre, chez nous comme chez eux, on trouve la même détermination à faire le maximum pour satisfaire les clients. C’est une des composantes du succès, à part égale avec les performances technologiques innées des machines. Les équipes de TOMRA ne sont jamais repoussées par des challenges, bien au contraire, elles sont encore plus motivées par l’envie de se surpasser et d’apporter la réponse parfaite au client. »

L’ouverture d’une toute nouvelle ligne innovante Zero Waste, fondée sur les technologies TOMRA

MTB exploite déjà un centre de tri (5 lignes) qui lui permet de vendre de la matières premières secondaires. Et l’entreprise a ouvert sur son site de Trept, en janvier 2021, une toute nouvelle ligne de tri qui combine les technologies TOMRA pour affiner au maximum les résultats du tri. Grâce aux nouvelles technologies de tri des plastiques et métaux, cette ligne retraite les produits en mélange, et l’intégralité des matériaux est recyclée. Cette innovation industrielle, opérationnelle quelques semaines seulement avant la période de crise sanitaire, est stratégique pour l’entreprise, elle fait partie d’un plan d’investissement global de l’ordre de 17 millions d’euros.

Romain Doeppen, Responsable Commercial MTB Manufacturing, explique : « Depuis 40 ans, notre ambition a toujours été la même : fournir à nos clients des matières premières secondaires les plus propres, les plus pures possibles tout en ayant le plus faible impact environnemental. Quand nos techniciens ont conçu la ligne Zero Waste Metal, c’est naturellement que nous nous sommes tournés vers TOMRA. »

Cette ligne Zero Waste Metal s’adapte de façon très flexible aux différents flux entrants, notamment les profilés aluminium ou les résidus de broyage automobile. Avec ce nouvel investissement, MTB confirme son positionnement de fournisseur de matières premières secondaires à très faible impact environnemental, issues d’un recyclage ultime de très haute performances opéré en partie par les technologies TOMRA.

« Cette nouvelle ligne de tri répond à des enjeux stratégiques pour MTB, c’est un nouveau moyen de production qui a pris rapidement toute sa place dans l’offre du pôle Recyclage de l’entreprise », explique Romain Doeppen. « De marché de niche axé sur un type de valorisation, le recyclage est devenu une gestion générale et multi-produits des déchets. TOMRA et ses technologies de tri, nous accompagnent dans la démarche. »

La ligne Zero Waste Metal s’appuie sur les technologies TOMRA

Deux machines TOMRA sont associées sur la ligne de traitement. Une FINDER, en premier lieu, une X-TRACT, pour la séparation des métaux ou des plastiques par densité atomique.

« La FINDER de TOMRA avec son capteur électromagnétique est LA technologie pour des applications dans le secteur métal. La machine est très robuste et facile à entretenir », explique Damian Barnes, responsable de la Division Métal en France pour TOMRA. « Elle doit sa réputation à sa capacité de récupérer des fractions métalliques de très haute pureté, qu’elle que soit de la complexité de la composition du flux d’origine, ou sa granularité. »

Cette machine est dotée de trois types de capteurs associés pour un traitement polyvalent des différents flux, métalliques et non métalliques : un capteur électromagnétique, un laser LOD (Laser Object Detection) pour détecter des objets métalliques précis, et un capteur proche infrarouge NIR, pour cibler des objets (cartes électroniques, câbles revêtus en PE/PVC, par exemple). Ensuite vient sur la ligne, la machine X-TRACT. Son système d’imagerie par rayons X à haute résolution lui permet de trier les objets par classifications de densité atomiques sans être perturbé par les contaminations de surface. Dans le cas présent, elle traite des flux de Zorba, en identifiant des fractions aluminium à haute valeur.

MycarSpot sera présente sur le salon Vivre l’Entreprise, les 23, 24 et 25 juin au Parc Floral,
à l’initiative de l’incubateur IMMOWELL-LAB, l’accélérateur de start-up dédié au Bien-être par l’Immobilier.

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MyCarSpot intègre une série de nouveautés dans son application d’optimisation du parking d’entreprise, comme la possibilité de prioriser les types de motorisations et le covoiturage, ou de s’interfacer avec les principaux outils de contrôle d’accès du marché.

Une simplicité fonctionnelle apparente

D’un doigt sur le smartphone, MyCarSpot permet au collaborateur soit de réserver, soit de libérer à distance sa place de parking. L’application se caractérise par sa simplicité de mise en œuvre et d’utilisation dans les entreprises. Mais derrière cette interface simple d’apparence pour l’utilisateur final, un algorithme puissant gère l’allocation des places de parking en tenant compte de nombreux paramètres.

En effet, au fil des déploiements chez les clients, MyCarSpot a suscité des suggestions clients qui sont à l’origine du développement de nouvelles fonctions applicatives. Avec une équipe informatique renforcée en janvier 2021, MyCarSpot a mis en production de nouveaux chantiers et annonce aujourd’hui la disponibilité d’une série de nouvelles fonctions.

Stéphane Seigneurin, CEO de MyCarSpot, commente : « Notre application est spécialisée, elle se doit d’évoluer en permanence et d’intégrer tous les cas de figures pour une gestion optimale de parking, sans développement spécifique au moment où l’entreprise l’adopte. Nous apportons aujourd’hui plus d’options paramétrables, toujours pour un tarif de 3 euros / mois / place, et plus de flexibilité : cela rencontre le besoin des gestionnaires de flottes. Ils vont pouvoir infléchir les habitudes des collaborateurs, en mettant en avant les pratiques vertueuses comme le covoiturage ou l’électrique. Dès lors, avec MyCarSpot, l’accès au parking peut devenir un levier de plus pour infléchir les habitudes et promouvoir les nouvelles mobilités. »

Car toutes les places de parking ne se ressemblent pas !

MyCarSpot fait déjà le distingo entre places de parking standard, petites ou grandes pour les attribuer intelligemment selon les caractéristiques du véhicule conduit par les collaborateurs. Elle traite aussi les places de vélos et de motos, ainsi que les véhicules électriques qui doivent accéder à des emplacements dédiés.

Et dernière nouveauté en date, le covoiturage est un nouveau critère géré par l’algorithme de MyCarSpot.

Ces paramétrages sont à la main de l’administrateur qui décide ou non que MyCarSpot priorisera certaines catégories de véhicules, par exemple les véhicules électriques, les véhicules PMR – personne à mobilité réduite-, ou le covoiturage. Toutes ces règles sont activables facilement par des menus déroulants très clairs, en quelques minutes.

L’administrateur du parking garde avec MyCarSpot un contrôle complet de l’utilisation des places, et accède à un monitoring en en temps réel. Il peut immédiatement savoir le nombre de places disponibles dans le parking, et visualiser le détail des réservations, place par place.

L’interface avec les systèmes de contrôle en place

Quand l’entreprise a déjà opté pour un contrôle d’accès avec le module d’ouverture de barrière, les indicateurs sont remontés dans l’application MyCarSpot. Un code couleur est activé si la place est occupée (détection du déclenchement d’ouverture de la barrière par l’utilisateur).

MyCarSpot peut également s’interfacer avec des systèmes à détection de véhicules stationnées – comme par exemple les capteurs Sensit de la marque NEDAP. L’application affichera alors une carte dynamique du parking avec des indicateurs lumineux pour informer sur l’occupation des places en temps réel. L’administrateur aura accès à des informations supplémentaires donnant l’heure d’arrivée de l’utilisateur.

SuiviDeFlotte permet au groupe aixois ARCA, 10 M d’euros, une 60aine de collaborateurs :

. de surveiller et gérer son parc de machines – une centaine de véhicules lourds et spéciaux utilisés pour le terrassement, le génie forestier, le traitement phytosanitaire et la protection incendie, l’entretien des espaces verts,

. de planifier et optimiser ses chantiers,

. et de remonter automatiquement des données qui alimentent son logiciel de suivi d’affaires.

De la géolocalisation pour sécuriser le parc machines, mais pas que…

Le groupe ARCA basé à Meyreuil (à proximité d’Aix-en-Provence), réunit 3 sociétés spécialisées dans la gestion des espaces verts, sur grands sites industriels, militaires et naturels (parc régional). Son secteur d’intervention couvre le grand Sud-Est, le bassin méditerranéen jusque dans la vallée du Rhône. Il gère un parc d’une centaine de poids lourds et engins spéciaux, tracteurs forestiers, pulvérisateurs pour les traitements phytosanitaires, véhicules de transport etc.

Le groupe a d’abord été équipé d’une autre solution qui se concentrait sur la fonction de géolocalisation et d’alertes en cas de mouvements anormaux, afin de parer aux vols sur chantiers, un fléau qui affectent tous les métiers du TP où les engins dorment sur site.

Si cette vigilance accordée au parc machine demeure une constante, la solution de SuiviDeFlotte délivre depuis deux ans bien d’autres fonctionnalités utiles à la gestion quotidienne de l’activité. L’intégration de la solution SuiviDeFlotte dans le système d’informations, la récupération des données concernant la localisation et l’utilisation des machines, contribuent d’abord naturellement à une bonne gestion du parc de véhicules, mais plus généralement à la maîtrise d’un ensemble de points clés pour le fonctionnement de l’activité.

Localiser pour intervenir plus vite sur site…

Dans ce métier où les zones d’intervention sont très vastes et éloignées, au fin fond d’un massif forestier par exemple, le repérage précis des machines sur une carte dynamique fait gagner un temps précieux et contribue au bon fonctionnement de l’ensemble de l’entreprise. Les mécaniciens à qui on peut demander une intervention d’urgence, sont d’autant plus vite arrivés sur place au pied de l’engin à dépanner. L’ingénieur en charge des contrôles internes de santé-sécurité au travail [1] peut localiser en toute autonomie les zones de travaux et arriver sur place sans avoir à se signaler au préalable pour demander son chemin, une condition sine qua non à l’efficacité de sa mission.

…Organiser les chantiers et récupérer des rapports d’interventions automatiques

Les conducteurs de travaux s’appuient sur l’outil SuiviDeFlotte pour planifier et organiser leurs chantiers, avec le dispatching des machines, les transferts d’un site de travaux à l’autre, etc.

En outre, les capteurs de prise de force, installés par exemple sur le broyeur d’un tracteur ou un pulvérisateur, permettent de conserver en mémoire le temps et les zones d’intervention, avec un tracé cartographique horodaté archivé dans l’outil informatique. En récupérant automatiquement les données concernant le mouvement des engins et leur fonctionnement (avec des capteurs au niveau des prises de charge), l’entreprise peut ainsi enrichir son outil de suivi d’affaires et ses compte-rendus d’activités, et justifier le cas échéant, des travaux réalisés sur des points précis, en réponse à toutes les questions des clients. Une justification à donner, un contrôle à passer, un rapport d’activité à éditer ? La réponse arrive, précise et immédiate : le rapport est extrait d’un clic de souris !

Pour les grands comptes, privés ou publics, – RTE, EDF, grands complexes industriels de pétrochimie, parc naturel -, la formalisation des rapports d’interventions est absolument nécessaire et l’outil SuiviDeFlotte, s’en trouve totalement rentabilisé.

« Nous mettons en œuvre une politique axée sur une rigueur organisationnelle dans le respect des règles de la santé, de la sécurité, de l’environnement, et faisons des investissements constants dans le parc matériel. SuiviDeFlotte nous aide à atteindre nos objectifs. La traçabilité des interventions permet de justifier vis-à-vis des donneurs d’ordre, la bonne réalisation des contrats », explique Emilie ARNOUX, Directrice Administrative et Financière du groupe. « Au début, c’est d’ailleurs la fourniture de l’API qui permet une connexion informatique facilitée avec notre outil de suivi d’affaires maison, qui nous a décidé en faveur de SuiviDeFlotte. »

A propos du groupe ARCA

Le groupe ARCA compte 3 sociétés spécialisées dans la gestion de la végétation en milieu forestier, industriel et le terrassement : les Etablissements BOURRELLY (génie forestier), fondés en 1951, EDACA (gestion de la végétation en sites industriels classés SEVESO et sites militaires), créée en 1988, GROUPAGEF (aménagement et gestion de l’environnement forestier et rural), ouverte en 1990. Avec un chiffre d’affaires cumulé de plus de 10 millions d’euros, la force du groupe réside dans la mutualisation des moyens humains et matériels, et la maîtrise technique avec la gestion des chantiers par un personnel expérimenté et formé, un important parc d’engins et de véhicules renouvelé et entretenu.

Le groupe ARCA bénéficie de nombreuses certifications et agréments (QUALIPAYSAGES, agrément phytosanitaire, Certification MASE Etang de Berre, Charte de qualité de l’Association des Applicateurs Professionnels Phytopharmaceutiques...)

Le groupe ARCA intervient sur les départements des Bouches du Rhône, du Var, du Gard, des Alpes de Hautes Provence, des Alpes Maritimes, et des Hautes Alpes.

Pour en savoir plus : www.groupagef.com

[1] un dispositif obligatoire conformément à la certification MASE – Manuel d’Amélioration Santé Sécurité Environnement

MILLA déploie un service de transport autonome à la gare d’Aix TGV

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MILLA Group étend ses déploiements de service de transport à la demande, pour le compte des collectivités territoriales.