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Architectes Ingénieurs Associés l’un des principaux cabinets d’architectes national adopte OPR6 de Wapp6 pour la rénovation des 35 000 m2 de la Tour F, premier immeuble du « Balardgone », le nouveau Ministère de la Défense de la Porte Balard

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    INNOVATION

    Après 6 années de travaux, le bâtiment a été livré comme prévu fin février, au Ministère de la Défense. Wapp6 et son outil OPR6 sont parties prenantes de cette réussite.

    L’agence Architectes Ingénieurs Associés a métamorphosé la tour F, immeuble de l’armée de l’air datant des années 70. Un chantier de rénovation spectaculaire que les parisiens ont pu observer depuis le périphérique Sud, à Balard.

    Adepte de l’échange de données informatiques avec ses partenaires, AIA a adopté OPR6 sur les 3 dernières années du projet pour gérer les 25 entreprises intervenantes. Une très belle référence pour l’éditeur Wapp6 et un client qui lui a permis de perfectionner son application sur le terrain.

    Un projet ambitieux

    Pour AIA, la Tour F est la première utilisation d’OPR6. Au moment de l’adoption, l’outil est tout juste lancé sur le marché. Mais le gain de productivité promis par cet outil collaboratif de gestion des réserves est si important que le grand cabinet d’architecture s’y intéresse pour ce projet stratégique.

    Et c’est bien avant la phase des opérations préalables à la réception, bien en amont de la livraison, que l’outil devient un compagnon de travail pour l’équipe de François Thomas, responsable du service travaux chez AIA Paris.

    AIA, en tant que « bureau des méthodes » du chantier se doit d’être irréprochable dans le choix de ses outils. Aussi, François Thomas réalise pendant tout un mois un test fonctionnel qui le convainc à la fois de la maturité de l’outil, et de la solidité du support informatique et du service client de la société Wapp6.

    « L’outil se devait d’être fiable à 100% compte tenu de l’enjeu, il sera au fil des mois un pivot de communication entre les différentes parties prenantes, les 25 entreprises à coordonner sur le chantier, AIA et le maître d’ouvrage… ».

    Appartenant au Ministère de la Défense, les travaux du bâtiment sont soumis à la réglementation des Marchés Publics, et régi par le CCAG (cahier des clauses administratives générales). A compter de la date officielle de fin des travaux, il ne reste que 20 jours au maître d’œuvre pour procéder aux OPR(Opérations Préalables à la Réception) ; 20 jours calendaires pour contrôler la totalité d’un bâtiment qui a nécessité des années de travaux, qui compte 35 000 m2 de surface, c’est un défi !

    François Thomas décide d’utiliser OPR6 en contrôle continu

    Sur un bâtiment comme la Tour F, on parle de 50 000 réserves tout au long du chantier…. Une complexité que seule l’informatique peut gérer, un tableur Excel étant vite dépassé….

    Si le rythme de contrôle s’accélère à la fin, c’est tout au long du chantier qu’il faut faire du contrôle d’exécution. « En tant de maître d’œuvre, nous avons constaté une vraie amélioration dans notre travail quotidien. » Les gains de temps sont importants en termes de suivi, comparé à la méthode de travail traditionnelle qui repose sur des prises de notes sur des cahiers ou sur des liasses de plans papier au moment des visites de chantiers. La synchronisation par internet avec la base centralisée est immédiate, la diffusion se fait en temps réel chez les entreprises qui doivent intervenir.

    Finis les plans papiers à imprimer, et à manipuler aux quatre vents, les feutres qui bavent…. Finie l’écriture que la secrétaire ne lit pas, le temps passé à faire saisir, relire, corriger et valider et diffuser le compte-rendu de visite. Quand on fait 2 ou 3 visites de chantier par jour, quel gain de temps !

    « Utiliser l’outil de bout en bout nous a permis d’habituer tous les intervenants à l’outil, de permettre l’appropriation et d’alléger la pression à l’étape de livraison, pour les opérations préalables à la réception. A la fin, nous avons édité 25 PV de réception des travaux, avec la liste des réserves, les entreprises connaissaient déjà le format du document, et ont signé rapidement leur PV ».

    Ces PV, qui confrontent les entreprises à la liste des réserves constatées par le maitre d’œuvre, sont imprimés directement d’OPR6. Un document à valeur contractuelle, clair et net.

    Le maître d’ouvrage a lui aussi bénéficié du partage d’informations, facilitant son organisation : il a pu savoir s’il y avait des retards en toute transparence, quand il pouvait programmer son déménagement en toute fiabilité. Il a suivi les levées de réserves pour chaque entreprise, grâce aux statistiques calculées par OPR6.

    Entre le début du projet et la fin, l’iPad est apparu après son lancement par Apple en avril 2010. Loin d’être un gadget, « c’est une vraie bonne surprise, apportant légèreté et ergonomie, même si la tablette PC avec son stylet (voir le PC) reste un incontournable de part la stratégie des services informatiques, ou encore lorsque certaines phases du projet le nécessite pour répondre aux urgences du chantier, et que seules 2 tablettes ont été acquises. »

    L’application OPR6 est disponible sur la version iPad, Android et windows.

    Lancé il y a 3 ans, OPR6 a révolutionné la gestion des réserves sur les chantiers. Pionnière, la solution a gardé sa place de leader en développant un parc de clients sur toute la France. Wapp6 continue son développement et annonce aujourd’hui l’interopérabilité de son applicatif sur tous les standards de tablettes iPAD™, Android et Windows (y compris PC portable).

    Volume, technicité, nombre d’intervenants et enjeux économiques : les Projets Bâtiment, petits ou grands, sont de véritables défis d’organisation… Une fois le chantier commencé, leur pilotage se fait au quotidien sur le terrain : il faut détecter les anomalies le plus tôt possible, pour éviter les impacts de délais et les coûts engendrés, être capable de piloter leur correction pour assurer une livraison de l’ouvrage visant le « zéro réserve ».

    Et c’est un véritable enjeu économique : 5% du montant du chantier peut être légalement retenu tant que les réserves ne sont pas levées…. Or, en moyenne, un chantier qu’il soit petit ou grand, génèrera 1 à 2 réserves au m2 sur la durée du projet.

    OPR6, une solution mobile dédiée à la gestion des réserves

    OPR6 est issue de la rencontre de 3 facteurs de réussite : la connaissance métier, le Cloud et la tablette numérique. OPR6 permet au chef de chantier sur le terrain, depuis une tablette tactile, d’accéder et de naviguer dans tous les plans du chantier et d’apposer ses remarques. La remontée de l’information est immédiate au travers de la synchronisation avec le serveur. Ainsi que son partage avec les intervenants, que ce soit l’entreprise générale, les sous-traitants, la maîtrise d’œuvre et la maîtrise d’ouvrage. Le travail avec les multiples entreprises d’un chantier y gagne en réactivité (gain de temps, délais raccourcis, etc…), mais aussi en qualité (moins de stress, meilleure visibilité, traçabilité, etc…). Au final, OPR6 génère 80% de gain de temps.

    La tablette est la partie visible de la solution : car derrière, tourne un applicatif métier paramétré selon les caractéristiques du chantier, selon les attentes du client, avec hébergement sécurisé de ses données.

    « Si l’outil est aujourd’hui de plus en plus utilisé en contrôle continu pour gérer la conduite d’un chantier, les opérations préalables à la réception (dites OPR) et la réception elle-même, sont deux étapes clés que nous avons ciblées dès la création d’OPR6 ; les gains de productivité, et de qualité que nous apportons sont très conséquents et contribuent fortement à la diminution des risques ! », explique Franck Meudec.

    Une place de leader

    Lancé il y a 3 ans, la solution de Wapp6 a déjà de nombreuses références à son actif, et intervient dans tous types de bâtiments, dans les secteurs de la santé, du tertiaire, du secteur public, des logements, de l’énergie, partout en France, avec des maîtrises d’œuvre, des maîtrises d’ouvrage, ou des entreprises comme ARTELIA, ERTIM, EIFFAGE, COGEDIM, ASTRIMMO, SOCIETEGENERALE, NEXITY, VINCI CONSTRUCTION, URBIPARC, AART, BNP PARIBASIMMOBILIER, FAYOLLE, SODEG, BATEG, LEON GROSSE, GROUPE AIA, FONDEVILLE, RABOT DUTILLEUL, PETIT, SICRA, GCC, CREDIT AGRICOLE, AXIMA, etc…

    Wapp6 commercialise OPR6 sur la base d’un abonnement, à partir de 99 euros HT par mois, comprenant la fourniture du logiciel.

    Wapp6 propose ses solutions directement à ses clients, mais aussi à travers ses partenaires en région.

    Lancé il y a 3 ans, OPR6 a révolutionné la gestion des réserves sur les chantiers. La solution est issue de la rencontre de 3 facteurs de réussite : la connaissance métier, le Cloud et la tablette numérique.

     

    Un enjeu économique

    Volume, technicité, nombre d’intervenants et enjeux économiques : les Projets Bâtiment, petits ou grands, sont de véritables défis d’organisation… Une fois le chantier commencé, leur pilotage se fait au quotidien sur le terrain : il faut détecter les anomalies le plus tôt possible pour éviter les impacts de délais et les coûts engendrés, être capable de piloter leur correction pour assurer une livraison de l’ouvrage visant le « zéro réserve ». Plus la date de livraison se rapproche, plus la pression monte… Au dernier moment, les OPR(opérations préalables à la réception) permettent le réalignement sur les objectifs initiaux en corrigeant vite les réserves qui subsistent.

    5% du montant du chantier peut être légalement retenu tant que les réserves ne sont pas levées… Sans compter les pénalités contractuelles spécifiques, en cas de retard dans la livraison d’un chantier ou de dépassements des délais de résolutions des réserves. Or, en moyenne, un chantier génère 1 à 2 réserves au m2 sur la durée du projet. Par exemple, un chantier de 500 m2 comptabilisera 1 000 réserves environ, un chantier de 100 000 m2 environ 150 000 réserves, etc…

    Les tablettes ont révolutionné le pilotage des chantiers

    Lancée il y a 3 ans en véritable pionnier, la solution de Wapp6 a déjà de nombreuses références à son actif, et intervient dans tous types de bâtiments, dans les secteurs de la santé, du tertiaire, du secteur public, des logements, de l’énergie. « OPR6 est adapté au terrain, il est simple et très efficace », explique Franck Meudec, PDG et fondateur de Wapp6. « Notre croissance a été portée par le succès fulgurant des tablettes tactiles auprès du grand public, et par notre capacité à l’adapter aux chantiers de la construction. La valeur ajoutée de notre solution est démontrée sur le terrain en quelques minutes et avec des bénéfices immédiats ! »

    La solution Wapp6 est référencée sur toute la France, que ce soit des maîtrises d’œuvre, des maîtrises d’ouvrage, ou des entreprises comme ARTELIA, ERTIM, EIFFAGE, COGEDIM, ASTRIMMO, SOCIETE GENERALE, NEXITY, VINCI CONSTRUCTION, URBIPARC, AART, BNP PARIBAS IMMOBILIER, FAYOLLE, SODEG, BATEG, LEON GROSSE, GROUPE AIA, FONDEVILLE, RABOT DUTILLEUL, PETIT, SICRA, GCC, CREDIT AGRICOLE, AXIMA, etc…

    « Si l’outil est aujourd’hui de plus en plus utilisé en contrôle continu pour gérer la conduite d’un chantier, les opérations préalables à la réception (dites OPR) et la réception elle-même, sont deux étapes clés que nous avons ciblées dès notre création ; les gains de productivité, et de qualité que nous apportons sont très conséquents et contribuent fortement à la diminution des risques ! », explique Franck Meudec.

    OPR6, une solution mobile

    OPR6 permet, depuis une tablette tactile, d’accéder et de naviguer dans tous les plans du chantier. Le chef de chantier positionne ses réserves avec le doigt sur le plan, en indiquant la nature du problème détecté et le délai. Un menu contextuel le guide : il lui propose une liste de choix qui évite les saisies et permet d’aller au plus vite. En outre, via la tablette, il lui est possible d’associer des compléments multimédia qui apporteront des commentaires personnalisés (écriture rapide manuscrite, photo, voix).

    L’autre avantage est la remontée immédiate de l’information au travers de la synchronisation avec le serveur, et son partage avec les intervenants, que ce soit l’entreprise générale, les sous-traitants, la maîtrise d’œuvre et la maîtrise d’ouvrage..

    Le travail avec les multiples entreprises d’un chantier y gagne en réactivité (gain de temps, délais raccourcis etc…), mais aussi en qualité (moins de stress, meilleure visibilité, traçabilité, etc…).

    Le pilotage du chantier est en outre facilité par la génération dynamique des statistiques d’avancement.

    Plus d’une cinquantaine de machines TITECH auront été livrées et installées sur le territoire national l’an dernier, couvrant toute la gamme d’applications métier du leader mondial du tri des déchets : ferrailles, métaux, plastiques, collectes sélectives, DIB, PET, etc… Le carnet de commandes du premier semestre 2012 bénéficie de la même tendance et se remplit plus vite qu’à la même période l’an dernier.

     

    Une activité soutenue

    « 2011 aura, pour nous, été une année exceptionnelle sur le plan commercial. Courant 2012, deux facteurs vont rendre plus incertaines les décisions d’investissements : le cours des matières premières qui a un fort impact pour le secteur du tri et du recyclage des déchets et, bien entendu, de façon générale, la santé financière des entreprises. Nous prévoyons cependant déjà une confirmation de notre dynamique de croissance jusqu’à l’été », explique Daniel Zimmerlin, directeur commercial pour la France.

    Titech renforce sa présence en France

    Pour faire face à des commandes en hausse sur un marché français demandeur de nouveautés technologiques, TITECH doit conforter sa présence en France. D’ores et déjà, un technicien et un chargé d’affaire ont rejoint en janvier l’équipe dédiée au marché français.

    En outre, TITECH s’appuie en France sur les synergies nouvelles créées au sein du groupe TOMRA, notamment sur le plan des services, de l’assistance technique, et des ressources administratives avec ODENBERG implantée à Castries (34), dans la région montpelliéraine. Fournisseur phare de technologies de tri pour les industries agroalimentaires, ODENBERG peut aujourd’hui partager des fonctions Support avec l’équipe française de TITECH. Une culture technique et des valeurs partagées autour de l’innovation industrielle ont largement facilité la mise en place de ces synergies.

    TITECH, fabricant de systèmes de tri des déchets, est fidèle au salon Pollutec Horizons.  TITECH présentera cette année sur son stand N°174, les nouveautés dans ses gammes d’équipements et Daniel ZIMMERLIN, responsable de l’entité française, interviendra lors d’une table-ronde Federec le mercredi 30 novembre à 10h00 et le vendredi 2 décembre, à 10 heures sur le PLATEAU TV consacré à l’innovation.

     

    Un aperçu des évolutions de la gamme TITECH

    Les acteurs du marché de l’environnement et du développement durable se donnent rendez-vous au salon international Pollutec Horizons. Cette année encore, TITECH ne manquera pas à l’appel, dans un contexte où son activité en France se développe fortement depuis trois ans.

    Annonçant au plan du Groupe un parc de 3 000 solutions installées às travers 40 pays, TITECH conforte sa position de leader technologique dans le domaine du tri des déchets. Ses équipements sont adaptés à de nombreux cas de figure : ils participent à l’industrialisation et à l’optimisation du recyclage des métaux (issus des véhicules en fin de vie, des appareils électroniques, des fils électriques et réseaux, des résidus de broyage…), des déchets issus de la production industrielle (par exemple, coproduits organiques dans l’agro-alimentaire), des résidus sur chantiers de démolition/rénovation, et bien évidemment des déchets ménagers et des emballages.
    Sur son stand, TITECH présentera non seulement ses équipements fondés sur les technologies du tri optique, mais aussi les perspectives Produits 2012.

    5 ans de R&D et 10 M d’euros ont été investis sur l’usine de tri pilote de Montluçon. Titech s’est associé à la mise au point de machines nouvelle génération dédiées au tri des polymères en mélange. Une Première qui révolutionne la valorisation des déchets plastiques et intéresse toute l’industrie plasturgique.

     

    5 ans de R&D en partenariat avec Titech

    Monsieur Valentin, Président de Polival, agit depuis 1999 dans le secteur du recyclage et de l’environnement. Il est fondateur de Francecoval, et Terecoval. Il a monté l’un des premiers sites dédié aux DEEE (Déchets d’Equipements Electriques et Electroniques) en France. Pour la valorisation des matières plastiques, en 2005, il se lance dans un projet visionnaire pour étendre les possibilités de tri automatique aux déchets plastiques hétérogènes en particulier les polymères en mélange. Ce projet est donc issu d’une sérieuse réflexion.

    « Les directives européennes n’étaient alors pas si contraignantes qu’aujourd’hui, les industriels gardaient encore l’habitude de recourir aux techniques d’enfouissement et d’incinération. Pour la planète, l’impact environnemental est désastreux, mais les techniques industrielles de tri n’étaient pas prêtes à y remédier. Aujourd’hui, en 2011, alors que les nouvelles consignes de tri sur les plastiques se mettent en place, le projet arrive à point nommé…. », explique Monsieur Valentin.

    Car le plastique n’est pas un, mais multiple. Et souvent aggloméré à d’autres matières… Un vrai défi pour les professionnels du tri. Les polymères en mélange ne sont pas fongibles, il faut les séparer par famille pour les traiter. En tri automatique, rien n’existe… Trop compliqué pour beaucoup.

    Il faut faire avancer l’état de l’art. Monsieur Valentin s’engage donc dans un projet long et coûteux. Il n’est pas seul dans l’aventure. Il trouve chez TITECH, des spécialistes qui sauront l’accompagner dans toutes les phases de détermination de ses besoins, et de prototypage de ses machines nouvelle génération.

    « J’ai trouvé chez mes interlocuteurs français, puis à la R&D en Allemagne, une écoute, des interlocuteurs intéressés, vraiment accueillants, compétents et motivés pour mener à bien un projet qui nécessitait une longue étape de mise au point », explique Monsieur Valentin.

    Titech, équipementier leader mondial dans le secteur du tri des déchets, s’investit. Certes, la rentabilité du projet ne sera pas immédiate mais il va dans le sens de ses propres programmes de recherche qui visent à améliorer de façon continue ses techniques de tri et à en élargir les possibilités.

    « Bien que leader mondial, TITECH est toujours intéressé par des projets portés par des gens passionnés et compétents. C’est ce que nous avons trouvés chez Pierre Valentin et ses collaborateurs. TITECH a dédié les moyens nécessaires sur ce programme de R&D. L’enjeu était intéressant. Pour la première fois, un site devait travailler en quantités industrielles, des gisements de déchets plastiques hétérogènes, les DEEE (Déchets D’équipements Electriques et Electroniques), les gisements de l’industrie, les VHU (véhicules hors d’usage), et les déchets du monde agricole », explique Daniel Zimmerlin, Directeur Commercial de TITECH France.

    Le résultat pour la rentrée 2011 à Montluçon

    Le site de tri Polival est aujourd’hui en phase de pré-ouverture, avant une exploitation grandeur réelle à la rentrée 2011. Il aura nécessité 10 M d’euros d’investissement (process).

    L’usine est équipée d’un tout nouveau genre de machines Titech, sur mesure. Ces machines s’intègrent dans un ensemble industriel défini sur les spécifications de M. Valentin.

    Le site choisi depuis 2009, est installé à Montluçon sur une friche industrielle laissée par une ancienne usine d’embouteillage. 4 hectares pour construire une plateforme de tri de 15 000 m2, dédiée entièrement au traitement des matières plastiques. Sa capacité est de 70 000 tonnes/an. C’est donc un projet industriel de grande ampleur installé en Auvergne : au cœur de la France.

    Le business plan repose sur l’approvisionnement continu et massif de l’usine en résidus, déchets et rebuts plastiques en tout genre, et sur la facilité d’expédition de produits finis vers les clients, les industriels plasturgistes français et européens. Donc sur une liaison à des conditions économiquement viables, depuis n’importe quel point. Le site est raccordé au ferré, il est bien desservi par les autoroutes. C’est déterminant.
    Le site emploiera une cinquantaine de personnes à terme. Il mobilisera également un réseau de centaines de récupérateurs sur toute la France, au plus près des gisements de matières, pour la logistique d’approvisionnement de l’usine.

    La R&D continue

    Aujourd’hui, le secteur de l’industrie plasturgique regarde de près cette installation qui promet une matière première secondaire d’une qualité parfaite, équivalente à la matière première d’origine. POLIVAL à créé son propre laboratoire d’analyse et de recherche.

    Le projet a reçu le soutien de OSEO. Il est agréé OSEO Innovation. Un programme de recherche TITECH/POLIVAL se poursuit pour affiner encore les techniques de tri : bientôt, on pourra trier aussi chez Polival des polymères de nouvelle génération …

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