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Finaref lance un service unique sur le Web : Cliquez-Achetez.fr

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    INNOVATION

    Permettre d’acheter immédiatement un produit sur Internet avec un paiement différé, tel est le tout dernier service que propose Finaref à ses partenaires commerciaux présents sur le Web. Le premier partenaire à tester ce nouveau service « Cliquez-Achetez.fr » est La Redoute, 1er site marchand généraliste en France.

    Les ventes sur le Web ne cessent de croître et génèrent actuellement plus de 40 % du chiffre d’affaires de La Redoute. En tant que spécialiste de la vente à distance de services financiers, Finaref se doit d’accompagner ses partenaires dans le développement de leurs activités sur Internet. Depuis les années 90, Finaref proposait déjà de « pré-scorer » des clients afin de leur proposer par téléphone d’ouvrir une carte Kangourou en même temps qu’ils passaient leur commande à La Redoute. Aujourd’hui, pour la première fois en France, Finaref déploie ce financement immédiat d’un achat à partir d’un compte en ligne avec un service baptisé « Cliquez-Achetez.fr ».

    Avec ce service accessible directement sur le site marchand de La Redoute, tous les clients de La Redoute peuvent enfin commander immédiatement un produit avec un paiement en différé, même ceux qui ne possèdent pas encore de carte Kangourou. Il leur suffit de souscrire une demande de carte en remplissant le questionnaire simplifié qui apparaît sur leur écran lors de la prise de commande. Finaref leur donne alors accès à une réserve d’argent de 600 euros pour effectuer leurs achats. La grande nouveauté réside notamment dans le fait que la solution est disponible pour les clients mais aussi les prospects de La Redoute.

    « Nous réussissons à fluidifier le processus de décision en simplifiant au maximum les démarches à suivre. Les services offerts sur Internet se doivent d’être très réactifs pour réussir à capter les clients et transformer leur consultation en acte d’achat. Aussi leur accorde-t-on l’opportunité de payer en différé sur Internet aussi simplement qu’ils pouvaient le faire dans les magasins », explique Nicolas Denis, directeur commercial Enseignes de Finaref.

    Le client n’a plus qu’à remplir le contrat reçu avec son colis. Après acceptation de son dossier par Finaref, il reçoit sa carte Kangourou avec l’ensemble de ses services associés. Si la demande de carte Kangourou n’est pas finalisée, Finaref effectue le règlement via la carte bancaire du client dont le numéro aura été enregistré lors de l’achat.

    Finaref est la première société à offrir en ligne un service d’achat à crédit sécurisé avec autant de facilité et de rapidité. Le service « Cliquez-Achetez.fr » repose sur le savoir-faire unique de préqualification de Finaref développé sur mesure pour chacun de ses partenaires. Ce service est accessible sur le site de La Redoute depuis le 15 avril 2008 (www.laredoute.fr). Déclinable sur n’importe quel site en ligne il devrait progressivement être adopté par l’ensemble des partenaires de Finaref présents sur le e-commerce.

    Grâce à sa position de leader des cartes privatives, et avec deux partenaires dans le top 5 des sites marchands français les plus visités (La Redoute et La Fnac), « Cliquez-Achetez.fr » devient ainsi le service de paiement à crédit le plus accessible du marché et le plus intégré à la communication du partenaire.

    Le ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche a décerné à Oodrive le statut de Jeune Entreprise Innovante (JEI). Il récompense ainsi 6 années d’efforts, de recherches et de développements continus dans le domaine du logiciel.

    Basé sur des expertises technologiques et métier fortes, l’obtention du statut de JEI reconnaît le modèle SaaS (Software as a Service) d’Oodrive sur le marché du partage et de la sauvegarde, utilisé quotidiennement par plus de 7 000 entreprises clients.

    Une équipe R&D performante pour satisfaire le client

    Composée d’une trentaine d’ingénieurs, l’équipe de développement Oodrive bénéficie d’une totale liberté de moyens pour offrir une réponse adaptée aux attentes du client.

    « Notre culture d’entreprise et notre stratégie d’innovation orientée vers la R&D se sont construites naturellement », précise Stanislas de Rémur, PDG d’Oodrive. « L’obtention de notre statut de Jeune Entreprise Innovante nous permettra de dégager des moyens supplémentaires pour la R&D, notamment dans le cadre de notre expansion européenne prévue cette année. Notre levée de fonds de 4 M€ réalisée en novembre 2007 y sera aussi en partie consacrée. »

    Une innovation constante et croissante

    « Notre modèle économique repose sur notre capacité d’innover et notre réactivité à répondre aux besoins, en constante évolution, de nos partenaires », explique Stanislas de Rémur.

    Chaque développement est réalisé dans un souci d’ergonomie, facilitant ainsi l’utilisation et la prise en main des applicatifs. « Nous avons toujours vu notre performance comme notre habileté à rendre la technologie transparente. Nos clients nous font confiance car ils cherchent des outils simples dont le niveau de sécurité et de fonctionnalité est très élevé », indique Jacques Le Thuaut, directeur technique de Oodrive. « Nos clients sont de vraies sources d’inspiration et d’amélioration. Ils sont les moteurs de notre exigence. »

    En 2008, Oodrive continuera ses investissements en R&D pour enrichir sa gamme et offrir des solutions complémentaires issues de rachats ou de partenariats stratégiques.

    Continuant sur son ambition historique, Oodrive oriente ses développements pour que, quelle que soit la situation, sur son ordinateur au bureau, sur son portable ou son PDA, l’utilisateur des solutions Oodrive puisse accéder aux mêmes fonctions, aux mêmes documents, les partager, les transmettre et même y travailler. Stanislas de Rémur conclut : « C’est en ce sens que nos équipes de développement travaillent sur l’avenir de nos clients et celui d’Oodrive ».

    Des rencontres presse avec les acteurs les plus innovants de la production légumière et horticole ainsi que les transformateurs d’algues. Sans oublier les moments de plaisir pur, avec des dégustations de produits locaux. Un programme de visites de sites de production, de dîners et déjeuners avec chefs d’entreprises, responsables de groupements professionnels et chercheurs en laboratoires privés ou publics, qui nous confrontent à la réalité économique des grands groupes comme à celle des PME : ces deux jours, les jeudi 11 et vendredi 12 octobre, vous permettront de comprendre comment les producteurs bretons innovent et sont les champions de l’exportation.

    DERNIERE MINUTE

    Un avant-goût de l’effet Finistère ?

    Du 20 au 23 septembre 2007, la Bretagne s’installe sur les bords de Seine, dans le jardin Tino Rossi sur le quai Saint-Bernard (Paris 5e)… pour des rencontres surprenantes autour des activités innovantes en lien avec la mer. Nous vous convions à venir nous rencontrer sur cet espace. Pour plus d’informations : Michelle Amiard, 01 47 34 01 15, michelle@agence-c3m.com

    Au programme :

    • Pour la production légumière : SAVEOL, PRINCE DE BRETAGNE, ELORNPLANTS, MEIGWEN AMOR SERVICES;

    • Pour la filière horticole : TERRA LÉON, LA CANOPÉE;

    • Pour la filière centres de recherches : BRETAGNE BIOTECHNOLOGIEVEGETALE et le CNRS;

    • Pour la filière de transformation des algues : THALASS’BEAUTE, ALGUESSERVICES, ALGO PLUS, SCIENCES ET MER, ALGUES DE BRETAGNE.

    La « ceinture dorée » du Léon et du Trégor finistérien, dans le nord du département, est le berceau de grandes coopératives agricoles et groupements de producteurs légumiers, classés dans les premiers rangs français et de dimension internationale. S’appuyant sur des activités fortes de recherche-développement, ils ont su se diversifier et s’inscrire dans des démarches fortes de qualité. C’est là que notre parcours s’inscrit en grande partie.

    DEROULEMENT

    Jeudi 11 octobre

    Départ le jeudi 11 octobre, depuis Orly, à 9 h 15. Arrivée à 10 h 25 à Brest.

    • Visite de Savéol (Guipavas), premier producteur national de tomates et artisans du renouveau de la fraise de Plougastel, connue dans le monde entier et née dans le Finistère.

    • Visite de Bretagne Biotechnologie Végétale (création variétale, traçabilité, santé des plants, qualité sensorielle des aliments).

    • Rencontre à la Station Biologique de Roscoff du CNRS, pour ses recherches sur les vaccins végétaux.

    • Dîner avec quatre transformateurs d’algues au service de la cosmétique : Thalass’beauté (marque du centre de thalassothérapie de Roscoff), Algues Services (algues alimentaires), Algo Plus (conserverie artisanale d’algues alimentaires), Sciences et Mer (fournisseurs des centres de thalassothérapie).

    Vendredi 12 octobre

    • Petit déjeuner avec des représentants de la filière « mini-légumes » (Meigwenn Armor Services) et de la filière horticole (Terra Leon / la Canopée) en présence des conseillers généraux du secteur et du pôle de compétitivité Valorial.

    • Visite de Sica Léon / Prince de Bretagne, premier groupement horticole et légumier français, avec plus de 1200 exploitants, de la pointe de Brest à la baie de Locquirec. La Sica propose à la commercialisation (40 % à l’export) une gamme de plus de 30 légumes, du chou-fleur à l’oignon rosé de Roscoff en passant par les brocolis, minilégumes et produits bio. Présentation du marché au cadran avec le représentant du Cerafel, Comité régional économique agricole en fruits et légumes de la Bretagne.

    • Rencontre avec Elorn Plants (production, commercialisation. et exportation de plants de pommes de terre).

    • Déjeuner à Quimper, dans un établissement membre de la Confrérie des Toqués de la pomme de terre, en présence de représentants de Germicopa, premier créateur de variété de pommes de terre en France.

    • Visites chez Agrauxine (biofongicides), Algues de Bretagne (algues alimentaires) et Bonduelle (spécialités traiteur).

    • Retour sur Paris à 20h30, le vendredi 12 octobre.

    Pour en savoir plus…

    Pour se hisser au rang de première région agricole française, la Bretagne a développé, depuis les années 60, une agriculture innovante et très organisée, basée sur les productions animales et les cultures légumières. Le voyage de presse des 11 et 12 octobre, vous permet d’aller à la découverte de leaders régionaux et nationaux de la production (des marques à forte renommée comme Savéol, Prince de Bretagne,), des PME, voire des TPE qui ont su se développer et prospérer sur des marchés de spécialités : minilégumes, transformation des algues, etc.

    Le saviez-vous ?

    La Bretagne porte un pôle de compétitivité agroalimentaire, Valorial «L’aliment de demain». Tous les acteurs des filières agroalimentaires (lait, viandes, ovoproduits, légumes…), de la production à la consommation, sont impliqués dans Valorial : producteurs, industries agroalimentaires et leurs fournisseurs, équipementiers… mais elle est aussi la première région agricole française et le premier bassin agroalimentaire d’Europe. Près de la moitié des

    producteurs de légumes en France sont en Bretagne : ils possèdent plus de 3 000 exploitations, exportent 31 % de leur production (194 000 tonnes).

    Si la pomme de terre nouvelle est la star de la région (la Bretagne occupe le second rang en terme de production), ce sont plus de 25 espèces de légumes qui sont cultivées ici.

    Ce n’est pas un hasard si le goémon est indissociable de la Bretagne…

    Il s’agit de la principale zone littorale d’Europe où s’effectue le ramassage des algues.

    Une activité qui se pratique, en particulier, sur le plateau littoral du Léon et en mer d’Iroise

    (Finistère). Et le port de Lanildut (Nord-Finistère) est le 1er port européen pour la production d’algues.

    La Bretagne, et en particuler le Finistère, accueille l’un des plus grands «champs» naturels d’algues d’Europe. Des grands industriels aux PME, des entreprises finistériennes très nombreuses et variées se consacrent à la valorisation des algues, notamment dans les secteurs agroalimentaire et cosmétique.

    Et le Finistère ?

    Département de tradition rurale (près de 36 % de la population vit hors des agglomérations), son agriculture domine et occupe 2/3 du département. Les productions de légumes frais et de pommes de terre primeur sont localisées dans le nord du département.

    Le Finistère a fait de l’ouverture au monde sa force. Le développement international des entreprises, la mobilité des hommes est une caractéristique de ce pays de la fin des terres (ou en latin finis terrae).

    86 000 numéros Vert, Azur, Indigo et autres numéros Audiotel à 10 chiffres seront en circulation cette année. Un succès qui a une limite : celle de la mémoire humaine ! Car si deux tiers des Français 1 appellent les numéros d’informations mis en place par les marques, seulement un sur dix est capable d’en citer de mémoire ne serait-ce qu’un seul. En réalité, le client, ou le prospect, n’effectue son appel que s’il a sous les yeux ou dans l’oreille le message de l’annonceur. Côté marques, se pose alors la question de l’efficacité des campagnes… Autant de raisons à la démarche du 36 20. Le 36 20 n’est pas juste un numéro à 4 chiffres facilement mémorisable. C’est un numéro unique qui ouvre vers toutes les marques, et renvoie de façon totalement transparente vers les centres d’appels des unes et des autres. Autrement dit, l’équivalent du 36 15 pour le Minitel, et du www pour l’Internet.

    Une ergonomie qui optimise la gestion des appels

    Le prospect ou client, qui souhaite avoir un complément d’informations sur un service ou un produit, compose désormais un seul et unique numéro court universel à 4 chiffres : 36 20.
    36 20 permet aux entreprises d’être jointes spontanément par leurs clients ou prospects, simplement, à tout moment, de n’importe quel téléphone fixe ou mobile. Vous composez le 36 20, vous prononcez le nom de la marque avec laquelle vous souhaitez être mis en relation. Le serveur vous bascule de façon transparente sur son centre d’appels. Rien de plus simple ! Il s’agit là d’une application particulièrement efficace de la reconnaissance vocale2.

    Si le centre d’appels de la marque vient à être occupé, 36 20 propose à l’appelant un rappel gratuit. Pour ce faire, le serveur vocal interactif enregistre les numéros des appelants qui le souhaitent.
    Depuis son lancement en juin 2004, 36 20 a acquis progressivement 50 marques dont : Pierre & Vacances, le Figaro, Manpower, Nissan, Groupama, le CIC, Canal Satellite, Powéo, Nexity, Débitel, Thomas Cook, l’UNICEF, la CNAV, la SMEREP… Les consommateurs ont déjà le réflexe 3620: 30% des appels reçus actuellement demandent des marques non (encore) répertoriées !

    D’ici septembre 2005 le portail 36 20 a pour objectif de s’ouvrir à 1 000 marques, les plus grandes qui auront compris l’intérêt du numéro unique pour leurs campagnes de conquête (1/4 des appels actuellement) ou leur service à la clientèle (3/4 des appels).

    Testez vous-même le 36 20…

    Le 36 20 optimise le marketing de conquête et augmente le nombre de contacts par rapport à un numéro classique :

    • Campagne radio : + 50 % ; • campagne TV : + 27 % ; • affichage : + 25 % ; • presse magazine : + 20 %.

    36 20 dites « Le Figaro »

    36 20 dites « SMEREP »

    36 20 dites « Pierre & Vacances »

    36 20 dites « Nissan »

    36 20 dites « Aquarelle.com »

    36 20 dites « TOYOTA »

    36 20 dites « Banque CIC »

    36 20 dites « Club Med »

    36 20 dites « Manpower »

    36 20 dites « MAEVA »

    36 20 dites « SOFINCO »

    36 20 dites « Débitel »

    36 20 dites « AFER »

    36 20 dites « UNICEF »

    36 20 dites « Plan »

    36 20 dites « La Retraite »

    36 20 dites « Fondation Recherche Médicale »

    36 20 dites « NEXITY »

    36 20 dites « Canal Plus »

    36 20 dites « Canal Satellite »

    36 20 dites « Thomas Cook »

    36 20 dites « Nekermann Voyages »

    36 20 dites « Disney »

    36 20 dites « Mercedes »

    36 20 dites « Les Nouveaux Constructeurs »

    36 20 dites « SMART » Etc.

    Un modèle économique basé sur les reversements

    L’approche tarifaire est basée sur le principe suivant : aucun investissement au départ pour les marques – pas de frais fixes. Les revenus de 36 20 sont basés principalement sur un reversement d’une partie du prix des appels qui transitent de l’opérateur vers les centres d’appels et la facturation faite aux entreprises de ses services. 36 20 bénéficie ainsi du modèle économique de l’Audiotel, connu et accepté par les utilisateurs.3

    Étienne Oddon, associé de 36 20, en charge de la communication, annonce : « Nos prévisions à cinq ans, pour 2009, tablent sur la réception et le traitement de 110 millions d’appels annuels. Une moitié sera générée par les campagnes ponctuelles de conquête de nouveaux clients, l’autre moitié résultera des services de relation client qui vont se relier au 36 20. Ainsi 36 20 est bien placé pour prendre 20 % du marché des 270 millions d’appels Azur et Indigo en 2009, des numéros très utilisés en conquête. Et nous tablons sur 3 % du marché total du 1,8 milliard d’appels de la relation client. »

    À propos de 36 20. Portail des marques, le 36 20 est universel et avantageux quel que soit l’opérateur : – accès à une large audience : tout le parc des abonnés au téléphone fixe et mobile ;

    1 Sondage CSA auprès de 700 individus.
    2 En cas d’échec de la reconnaissance automatique de la marque (3 % des cas), la mise en relation s’effectue grâce à un téléconseiller, garantissant ainsi le traitement de 100 % des appels entrants.

    Securitas Domen s’est imposé depuis plus de quinze ans comme le spécialiste de la télésurveillance pour les particuliers en développant un savoir-faire unique : combiner de la manière la plus juste, la technologie et la proximité en proposant des solutions de sécurité personnalisées et efficaces. Securitas Domen lance l’offre GSM/Image – alliant le réseau de téléphonie mobile à la technologie numérique. Innovation, rapidité, efficacité et simplicité en sont les leitmotive… une solution inédite sur le marché des résidentiels pour le confort de l’habitat ! Securitas Domen sera présent à la Foire de Paris – 12-22 mai – Porte de Versailles

    La recherche constante de la plus grande efficacit

    L’augmentation des cambriolages va de pair avec le perfectionnement des systèmes de sécurité. En 2004, 180 379 habitations principales ont été cambriolées tandis que 22 501 résidences secondaires subissaient le même sort ! En réponse à ces intrusions, Securitas Domen propose un produit innovant – qui met en œuvre des solutions de sécurité optimales déjà éprouvées par les clients professionnels du groupe : l’offre GSM/Image.

    La centrale bénéficie d’un système de transmission utilisant les réseaux de communication mobile GSM/GPRS. Techniquement, c’est la garantie d’une transmission fiable et rapide 7j/7 et 24h24, précise Frédérique Debauche, responsable marketing chez Securitas Domen. De plus, cela sécurise le système puisque la coupure de la ligne téléphonique est désormais impossible.

    Le détecteur Image quant à lui réalise, lors d’une intrusion, une série de trois photos en noir et blanc prise à l’intérieur du domicile. La centrale transmet alors les photos au centre de télésurveillance. Cela permet une levée de doute immédiate. Cette dernière consiste à certifier qu’un événement anormal se déroule chez le client (porte ouverte, intrusion,…) Les opérateurs du centre analysent alors la situation, effectuent un contre-appel chez le client et déclenchent les procédures appropriées.

    Deux objectifs : faire fuir ou attraper le cambrioleur

    Si l’effraction est constatée, les opérateurs alertent les forces de l’ordre pour agir efficacement. Rajoutez l’émission d’un son strident de la sirène – très désagréable pour le (les) intrus, et la dissuasion est assurée ! Et c’est sans compter sur la première des dissuasions : les signalétiques apposées à l’extérieur des domiciles protégés !

    Comme le dit l’adage, un homme avisé en vaut deux… une maxime qui devrait aussi s’appliquer aux résidentiels, puisque – et c’est là le paradoxe, 22 % des Français ayant subi un cambriolage n’ont absolument rien fait par la suite pour améliorer leur sécurité. Ce qui explique que le taux d’équipement en France reste encore faible (autour de 10 %) alors qu’il est de 20 à 25 % chez nos voisins britanniques ou américains.

    Un système calibré pour les particuliers

    Qui plus est, votre système de protection doit s’intégrer aisément au quotidien. Le matériel est facile à utiliser et les manipulations sont rapides. Securitas Domen est donc en prise directe avec les attentes des particuliers. Ainsi, les comportements changent : 43 % des Français estiment qu’une meilleure dotation en termes d’équipements de sécurité contribuerait de façon importante à leur sérénité. Dès lors, le conseiller Securitas Domen détermine avec le client la configuration la mieux adaptée à ses besoins. Puis c’est au technicien de Securitas Domen de rentrer en scène pour l’installation ! Ce dernier installe le système de façon à garantir une sécurité optimale tout en respectant les souhaits du client en terme de programmation. C’est aussi l’occasion de lui expliquer le fonctionnement du système d’alarme, de lui donner des conseils d’utilisation et de répondre à ses questions. Une fois familiarisé avec cette technologie, le client pourra s’approprier son système grâce au StarTag. Comme un badge, le StarTag ne nécessite qu’un simple passage devant le clavier pour activer ou désactiver le système d’alarme. Plus de code à retenir !

    Un package « tout compris » !

    La configuration type est proposée aux environs de 1 000 € :

    – 1 centrale à transmission GSM/GPRS avec sirène (garantie à vie)

    – 1 clavier de commande (garantie à vie)

    – 2 détecteurs d’ouverture : porte et fenêtre (garantie 5 ans)

    – 1 détecteur de présence (garantie 5 ans)

    – 1 détecteur de présence Image (garantie 5 ans)

    – 1 Tag

    L’abonnement est de 30 €/mois et comprend (pour une installation avec un détecteur Image) :

    – Télésurveillance (intrusion, détection de fumée*, agression*, accident domestique*, coupure de courant)

    – Tests cycliques (certification APSAD, télésurveillance P3)

    – Intervention d’agents de sécurité

    • Selon le matériel installé

    Pour en savoir plus : www.securitas-domen.fr ou 0800 00 1616

    Leader français des solutions juridiques d’entreprise, Legal Suite sort la version 2.2 de Legal Business Act®, le seul outil du genre capable de déléguer en toute sécurité la rédaction d’actes et de contrats aux opérationnels non juristes. Il s’inscrit dans une tendance générale à la dématérialisation des actes tout en favorisant la maîtrise des risques.

    Legal Business Act® (LBAct) est une solution originale, développée initialement par Bouygues Télécom pour ses propres besoins et plusieurs fois récompensée en 2004 pour son innovation. Accessible par Intranet, elle permet aux responsables opérationnels de l’entreprise – acheteurs, chefs de produits, commerciaux, responsables RH… – de rédiger eux-mêmes les contrats et actes d’affaires en bénéficiant du savoir-faire de leur direction juridique. La version 2.2 ajoute des niveaux de sécurité supplémentaires avec un workflow et un système d’alertes par e-mail.

    Déléguer la rédaction d’actes en toute sécurité

    En pratique, l’utilisateur accède selon son profil à une « bibliothèque » de modèles en ligne, organisée par grandes familles : contrats de travail, contrats informatiques, baux, actes des sociétés, de contentieux, de la gestion immobilière ou des sinistres, etc. Il le personnalise selon ses besoins dans la limite des options qui lui sont offertes. Rien à voir cependant avec un « clausier » amélioré. Dans LBAct® V2, l’utilisateur est guidé en permanence dans ses choix par les règles d’articulation des clauses et une aide en ligne intégrées à chaque modèle. Les articles se numérotent automatiquement. La sécurité est garantie puisque chaque paragraphe a été modélisé en amont par le service juridique et l’acte final n’est édité qu’après validation par ce dernier.

    Les résultats sont immédiats : 15 minutes en moyenne pour rédiger un contrat pertinent contre plusieurs heures avec un clausier traditionnel. « En déléguant une partie de son savoir-faire, l’équipe juridique gagne un temps précieux et peut se concentrer sur le conseil et l’accompagnement d’opérations stratégiques plutôt que sur la production d’actes », précise Patrick Deleau, président de Legal Suite SAS. Pour les utilisateurs internes, LBAct® V2 est immédiatement opérationnel et les rend autonomes. Il peut devenir la norme pour tout nouveau contrat rédigé avec un client, un partenaire ou un fournisseur, ce qui garantit une meilleure maîtrise des risques juridiques.

    Nouveautés pour la V2.2

    LBAct® version 2.2 s’enrichit de nouvelles fonctionnalités pratiques telles que la gestion du « versionning » des modèles d’actes. L’équipe juridique peut désormais modifier plus facilement un modèle à partird’uneversiondonnée et datée. Autre nouveauté attendue, LBAct® bénéficie à présent d’un workflow des étapes d’approbation qui permet d’accélérer la validation des actes. Enfin, l’outil se voit doté d’un système d’alertes par e-mail, d’une messagerie interne et d’une détection des modifications pour une sécurité accrue.

    Legal Business Act® version 2.2 est désormais associé à l’offre globale Legal Suite. Il peut interagir avec chacun de ses modules de la version intranet 4.1. Ainsi, une fois créé à partir de LBAct®, chaque acte ou contrat peut être rattaché à un dossier Legal Suite ou inséré dans un processus de validation par workflow. De même, il est possible de personnaliser un acte à partir des données contenues dans une fiche Legal Suite. Adossé au module « Contrats » dont il devient une extension naturelle, le logiciel permet de maîtriser l’ensemble du cycle contractuel à la hauteur des enjeux de l’entreprise.

    Legal Suite SAS séduit de plus en plus de clients

    Le choix de nombreuses grandes entreprises et marques renommées en faveur de la Legal Suite et de LBAct confirme une vraie prise de conscience de la profession qui rattrape progressivement son retard en matière de solutions informatiques dédiées à la fonction juridique.
    Legal Suite SAS est le premier à en bénéficier puisqu’il connaît un formidable coup d’accélérateur, réalisant sur son 1er semestre fiscal (oct. 2004-mars 2005) autant de chiffre d’affaires que sur toute l’année précédente et des prises de commandes en hausse de 150 %. L’éditeur compte aujourd’hui quelque 125 clients fidèles, présents dans tous les secteurs économiques, et représentant près de 10 000 licences.

    En 2004 Legal Suite SAS a reçu pour LBAct le trophée « PME INNOVANTE 2004 APPLICATIONS WEB – E- BUSINESS » dans le cadre de la Semaine européenne des technologies de l’information, et LBAct a été récompensé par le Legal IT Award remis à Édimbourg lors du Legal IT Forum à Bouygues Telecom pour la « meilleure utilisation des nouvelles technologies par une Direction Juridique ».

    Principales fonctionnalités de LBAct 2.2 :

    ß Organisation des actes par grande famille thématique ;
    ß Possibilité de modéliser des contrats complexes et/ou multipartites ;
    ß Moteur de recherche par mots clés, famille, nature d’actes, etc. ;
    ß Personnalisation rapide de l’acte par l’activation de champs dynamiques ; ß Dispositions optionnelles ou facultatives ;
    ß Insertion automatique des clauses indissociables ;
    ß Exclusion automatique des dispositions incompatibles entre elles ;
    ß Numérotation automatique des clauses, alinéas et paragraphes ;

    ß Renumérotation automatique des renvois aux articles ou annexes s’ils sont déplacés ; ß Mode«Projet»;
    ß Génération au format .pdf ou .rtf (selon les profils utilisateurs) ;
    ß Gestion des profils utilisateurs ;

    ß Fonctionauditetstatistiques,etc.;
    ß Workflow des étapes d’approbation ;
    ß Système d’alertes, messagerie interne, détection des modifications…

    Tarif : LBAct est disponible à partir de 16 250 € installation et formation incluses.

    Environnement inform atique :
    LBAct est conçu pour fonctionner en environnement N-Tiers.
    La base de données peut être : SQL Serveur V°7 ou supérieure ; Oracle V°8 ou supérieure ; My SQL V°4.1 ou supérieure ; Sybase.

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